. . . . . . . . . . . . . . "Compteur de la dette de la France 2020"@fr . . . . . . . . . . . "Cour des comptes"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "618692"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "La dette des entit\u00E9s publiques"@fr . . . . . . . . . . . . . . "p\u00E9rim\u00E8tre et risques"@fr . . . . . . . . . . . "\u00E9conomie"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "205847"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "La dette publique de la France, rigoureusement dette brute de l\u2019ensemble des administrations publiques fran\u00E7aises, regroupe l'ensemble des engagements financiers, sous formes d'emprunts, pris par l\u2019\u00C9tat (y compris les ODAC), les collectivit\u00E9s territoriales et les organismes publics fran\u00E7ais (administrations de s\u00E9curit\u00E9 sociale\u2026). La dette publique, \u00AB au sens de Maastricht \u00BB estim\u00E9e par l'Insee, s'\u00E9levait \u00E0 2 638,3 milliards d'euros \u00E0 la fin du deuxi\u00E8me trimestre 2020, soit 114,1 % du PIB, contre 55,8 % \u00E0 la fin de 1995 et 66,8 % \u00E0 la veille de la crise de 2008."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "2019"^^ . . . . . . . . . . . "191249196"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "La dette publique de la France, rigoureusement dette brute de l\u2019ensemble des administrations publiques fran\u00E7aises, regroupe l'ensemble des engagements financiers, sous formes d'emprunts, pris par l\u2019\u00C9tat (y compris les ODAC), les collectivit\u00E9s territoriales et les organismes publics fran\u00E7ais (administrations de s\u00E9curit\u00E9 sociale\u2026). La dette publique, \u00AB au sens de Maastricht \u00BB estim\u00E9e par l'Insee, s'\u00E9levait \u00E0 2 638,3 milliards d'euros \u00E0 la fin du deuxi\u00E8me trimestre 2020, soit 114,1 % du PIB, contre 55,8 % \u00E0 la fin de 1995 et 66,8 % \u00E0 la veille de la crise de 2008. Ce montant \u00E0 rembourser par les administrations publiques est brut : il ne tient pas compte des actifs financiers, et ne constitue qu'une des composantes du patrimoine net. Il ne tient pas compte non plus des engagements hors bilan, qui en France repr\u00E9sentent plusieurs fois le montant de la dette brute. L\u2019endettement public a connu au cours de l'histoire de la dette publique fran\u00E7aise des grandes variations, et est l'une des causes de la R\u00E9volution fran\u00E7aise de 1789. Les guerres mondiales le pousseront \u00E0 des niveaux consid\u00E9rables avant une chute durant les Trente Glorieuses. Le d\u00E9faut de paiement (comme la banqueroute des Deux-Tiers), l'inflation, la d\u00E9valuation, et une hausse des recettes publiques ont \u00E9t\u00E9 les moyens de la r\u00E9duire. L\u2019appartenance de la France \u00E0 l\u2019Union \u00E9conomique et mon\u00E9taire europ\u00E9enne, depuis 1999, n\u00E9cessite, pour \u00E9viter les ph\u00E9nom\u00E8nes de passager clandestin et pour garantir une stabilit\u00E9 macro\u00E9conomique de la zone euro, de respecter des crit\u00E8res d\u00E9finis en 1992 par le trait\u00E9 de Maastricht et renforc\u00E9s par le Trait\u00E9 sur la stabilit\u00E9, la coordination et la gouvernance (TSCG) sign\u00E9 le 2 mars 2012 et entr\u00E9 en vigueur le 1er janvier 2013, dont notamment : \n* un d\u00E9ficit public annuel qui ne devrait pas exc\u00E9der 3 % du PIB ; \n* une dette publique \u00AB au sens de Maastricht \u00BB qui devrait rester inf\u00E9rieure \u00E0 60 % du PIB, sauf circonstances \u00AB exceptionnelles ou temporaires \u00BB\u2026 \n* \u2026ou, lorsque la dette d\u00E9passe cette limite, un objectif \u00E0 moyen terme de baisse de cette dette sur des p\u00E9riodes glissantes de trois ans, de chaque ann\u00E9e au moins 0,5 % du PIB et au moins un vingti\u00E8me de l'exc\u00E8s par rapport aux 60 %. De 2007 \u00E0 2017, la France ne respectait aucun de ces crit\u00E8res. Aussi a-t-elle fait l'objet d'une proc\u00E9dure de d\u00E9ficit excessif dont elle est sortie en juin 2018, la Commission europ\u00E9enne estimant que le d\u00E9ficit serait inf\u00E9rieur \u00E0 3 % pendant trois ann\u00E9es cons\u00E9cutives de 2017 \u00E0 2019. La question de la dette publique occupe aujourd'hui le d\u00E9bat public. La croissance de l'endettement des principaux pays d\u00E9velopp\u00E9s, \u00E0 partir des ann\u00E9es 1980, a conduit certains \u00E9conomistes \u00E0 d\u00E9finir et \u00E9valuer la soutenabilit\u00E9 \u00E0 long terme de la dette publique d'un pays. La persistance de d\u00E9ficits publics \u00E9lev\u00E9s remet en cause cette soutenabilit\u00E9. L\u2019OCDE consid\u00E9rait en 2016 que la probabilit\u00E9 de d\u00E9faut de paiement \u00E9tait quasiment nulle dans la plupart des pays avanc\u00E9s, \u00E0 l\u2019exception notable du Japon, de l\u2019Italie et, dans une moindre mesure, de la France."@fr . . . . . . "Dette publique de la France"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "octobre 2018"@fr . . .