. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Conversation t\u00E9l\u00E9phonique"@fr . . "188572145"^^ . "3550512"^^ . . . . . . "Une conversation t\u00E9l\u00E9phonique est un \u00E9change oral entre deux ou plusieurs personnes via le t\u00E9l\u00E9phone, dont elle est la finalit\u00E9 principale. Selon les chercheurs interactionnistes, elle est r\u00E9gie par des normes sociolinguistiques qui la font diff\u00E9rer de la conversation en face \u00E0 face, notamment parce que les participants sont g\u00E9n\u00E9ralement distants l'un de l'autre et incapables de recourir aux formes de communication qui sont non verbales, par exemple gestuelles ou \u00E9crites. Dans ce contexte, les interlocuteurs s'efforcent d'\u00E9viter les silences trop longs afin de manifester \u00E0 celui dont c'est le tour de parole qu'il est toujours \u00E9cout\u00E9. En fran\u00E7ais, on utilise g\u00E9n\u00E9ralement la question \u00AB all\u00F4 ? \u00BB pour engager une telle interaction, ce \u00E0 quoi la r\u00E9ponse est souvent une r\u00E9p\u00E9tition de la m\u00EAme question. Les appels qu'engendrent les conversations t\u00E9l\u00E9phoniques repr\u00E9sentent un march\u00E9 majeur pour les op\u00E9rateurs de t\u00E9l\u00E9phonie, g\u00E9n\u00E9ralement le principal devant les abonnements. Ces appels sont le plus souvent factur\u00E9es au client selon leur dur\u00E9e, en sus de la localisation du destinataire de l'appel et la qualit\u00E9 du num\u00E9ro appel\u00E9, qui peut faire l'objet d'une tarification sp\u00E9ciale. Aussi, dans le monde de l'entreprise, o\u00F9 les conversations inefficaces engendrent des co\u00FBts, on peut tenter de leur substituer d'autres moyens de communication, par exemple le courrier \u00E9lectronique ou la messagerie instantan\u00E9e. Elles peuvent \u00E9galement \u00EAtre chronom\u00E9tr\u00E9es, en particulier dans les centres d'appel."@fr . . . . . . . . . . . . . . . "2654"^^ . . "Une conversation t\u00E9l\u00E9phonique est un \u00E9change oral entre deux ou plusieurs personnes via le t\u00E9l\u00E9phone, dont elle est la finalit\u00E9 principale. Selon les chercheurs interactionnistes, elle est r\u00E9gie par des normes sociolinguistiques qui la font diff\u00E9rer de la conversation en face \u00E0 face, notamment parce que les participants sont g\u00E9n\u00E9ralement distants l'un de l'autre et incapables de recourir aux formes de communication qui sont non verbales, par exemple gestuelles ou \u00E9crites. Dans ce contexte, les interlocuteurs s'efforcent d'\u00E9viter les silences trop longs afin de manifester \u00E0 celui dont c'est le tour de parole qu'il est toujours \u00E9cout\u00E9. En fran\u00E7ais, on utilise g\u00E9n\u00E9ralement la question \u00AB all\u00F4 ? \u00BB pour engager une telle interaction, ce \u00E0 quoi la r\u00E9ponse est souvent une r\u00E9p\u00E9tition de la m\u00EAme que"@fr .