. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u042D\u043A\u0441\u0446\u0435\u043D\u0442\u0440\u0438\u0447\u0435\u0441\u043A\u0430\u044F \u043A\u043E\u043C\u0435\u0434\u0438\u044F"@ru . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u30B9\u30AF\u30EA\u30E5\u30FC\u30DC\u30FC\u30EB\u30FB\u30B3\u30E1\u30C7\u30A3"@ja . . . . . . . . . . "9071"^^ . . . . . . . "La com\u00E9die loufoque (en anglais : screwball comedy) est un sous-genre de la com\u00E9die hollywoodienne qui combine l'humour burlesque (\u00AB slapstick \u00BB) et des dialogues vifs, autour d\u2019une intrigue centr\u00E9e sur des questions de m\u0153urs, notamment les th\u00E8mes de la rupture, du divorce, du remariage ou de l'adult\u00E8re. La com\u00E9die loufoque m\u00EAle donc des \u00E9l\u00E9ments du comique de situation, du comique de gestes, de la com\u00E9die romantique et de la farce. Les limites temporelles de la com\u00E9die loufoque sont, \u00E0 l\u2019image de la d\u00E9finition du genre, difficiles \u00E0 tracer. Le film de Frank Capra New York-Miami, sorti en 1934, est g\u00E9n\u00E9ralement consid\u00E9r\u00E9 comme le premier repr\u00E9sentant significatif de ce genre et Ginger Rogers est parfois tax\u00E9e de \u00AB reine du genre \u00BB. Si son \u00E2ge d\u2019or se termine avant le milieu des ann\u00E9es 1940, des \u00E9l\u00E9ments de com\u00E9die loufoque continuent d\u2019appara\u00EEtre, parfois sous la forme d\u2019hommages ou de citations, dans des films ult\u00E9rieurs. Pour expliquer son d\u00E9clin, on avance notamment le fait que l'irruption de la Seconde Guerre mondiale et la fin de la Grande D\u00E9pression min\u00E8rent les codes th\u00E9matiques qui faisaient la colonne vert\u00E9brale du genre, \u00E0 savoir un exutoire \u00E0 la mis\u00E8re. Par ailleurs, apr\u00E8s la guerre, les personnages f\u00E9minins du cin\u00E9ma am\u00E9ricain sont devenus un peu plus effac\u00E9s ; or la forte personnalit\u00E9 des femmes est l'ingr\u00E9dient le plus notable du genre. Les com\u00E9dies romantiques r\u00E9centes d\u00E9coulent des mod\u00E8les mis en place par ces com\u00E9dies loufoques, mais dans une perspective nettement plus conformiste, notamment quant \u00E0 la place de la femme dans la soci\u00E9t\u00E9 ou dans le couple."@fr . . "La com\u00E9die loufoque (en anglais : screwball comedy) est un sous-genre de la com\u00E9die hollywoodienne qui combine l'humour burlesque (\u00AB slapstick \u00BB) et des dialogues vifs, autour d\u2019une intrigue centr\u00E9e sur des questions de m\u0153urs, notamment les th\u00E8mes de la rupture, du divorce, du remariage ou de l'adult\u00E8re. La com\u00E9die loufoque m\u00EAle donc des \u00E9l\u00E9ments du comique de situation, du comique de gestes, de la com\u00E9die romantique et de la farce."@fr . . . . . . . . . . . "Comedia screwball"@es . . . . . . . . . "Com\u00E9die loufoque"@fr . . . . . . . "Screwballkomedi"@sv . . . . . . . . . . . . . . . . . "187062045"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Com\u00E9dia maluca"@pt . "Com\u00E8dia screwball"@ca . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "89732"^^ . . . . . . . . . . . .