. . . "\u30AB\u30CA\u30C0\u306E\u6620\u753B"@ja . . . . "1832042"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "184595891"^^ . . . . . . . "3828"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Le cin\u00E9ma canadien anglophone d\u00E9signe l'ensemble de la production de films en langue anglaise, g\u00E9n\u00E9ralement tourn\u00E9s au Canada par les studios canadiens. Le Canada se manifeste parall\u00E8lement par des films qui ont du m\u00E9rite \u00E0 rester hors du mod\u00E8le hollywoodien. Le documentaire, outre les pionniers Colin Low et , fait preuve de sa vitalit\u00E9 \u00E0 travers l\u2019\u0153uvre de Donald Brittain ou de Robin Spry. Le cin\u00E9ma de la c\u00F4te Ouest se diff\u00E9rencie de son homologue oriental dans le documentaire et dans la fiction . Il excelle dans le film exp\u00E9rimental (Canadian Pacific, 1974, ), genre illustr\u00E9 \u00E0 l\u2019est par Michael Snow (La R\u00E9gion centrale, 1970-1971)."@fr . . . . . . . . . "Le cin\u00E9ma canadien anglophone d\u00E9signe l'ensemble de la production de films en langue anglaise, g\u00E9n\u00E9ralement tourn\u00E9s au Canada par les studios canadiens. Le Canada se manifeste parall\u00E8lement par des films qui ont du m\u00E9rite \u00E0 rester hors du mod\u00E8le hollywoodien. Le documentaire, outre les pionniers Colin Low et , fait preuve de sa vitalit\u00E9 \u00E0 travers l\u2019\u0153uvre de Donald Brittain ou de Robin Spry. Le cin\u00E9ma de la c\u00F4te Ouest se diff\u00E9rencie de son homologue oriental dans le documentaire et dans la fiction . Il excelle dans le film exp\u00E9rimental (Canadian Pacific, 1974, ), genre illustr\u00E9 \u00E0 l\u2019est par Michael Snow (La R\u00E9gion centrale, 1970-1971). Deux cin\u00E9astes atteignent une audience internationale. Le premier, Atom Egoyan, d\u2019origine arm\u00E9nienne (The Adjuster, 1991 ; Calendar, 1993 ; Exotica, 1994 ; De beaux lendemains, 1997 ; Le voyage de F\u00E9licia, 1999), qui rappelle la diversit\u00E9 du creuset canadien. Le deuxi\u00E8me, David Cronenberg, r\u00E9alisateur de La Mouche (1986), de Faux-semblants (1988) de Crash (1996), Spider (2002), A history of violence (2005) exploite avec raffinement des genres am\u00E9ricains par excellence, horreur et fantastique, et s'impose comme l'un des meilleurs cin\u00E9astes des ann\u00E9es 1990 et 2000. Mais le plus c\u00E9l\u00E8bre de tous est sans conteste James Cameron. Appuy\u00E9 par des grands studios am\u00E9ricains, il r\u00E9volutionne dans les ann\u00E9es 1980 la science-fiction avec Terminator (1984) et Aliens le retour (1986), puis il s'impose d\u00E9finitivement comme l'un des plus grands r\u00E9alisateurs du monde en dirigeant les deux plus grands succ\u00E8s de l'histoire du cin\u00E9ma : Titanic (1997) et Avatar (2009). Bien que de nombreux acteurs canadiens eussent r\u00E9ussi \u00E0 Hollywood, ils ont souvent commenc\u00E9 leur carri\u00E8re \u00E0 Los Angeles, en d\u00E9pit de Toronto, Vancouver ou Montr\u00E9al qui sont des centres de cin\u00E9ma en plein essor de leur propre patrie. Les plus populaires sont Dan Aykroyd, Jim Carrey, Michael J. Fox, Mike Myers, Leslie Nielsen, William Shatner, et Kiefer Sutherland."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Film i Kanada"@sv . . "Cin\u00E9ma canadien anglophone"@fr . . . . . . "Cinema of Canada"@en .