. . . . . "10259411"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u9673\u89C0\u6CF0"@zh . . . . . . . . . . . . . "Chen Kuan-tai est un acteur sp\u00E9cialis\u00E9 dans les arts martiaux n\u00E9 le 24 septembre 1945 dans la province du Guangdong. Contrairement \u00E0 la plupart des acteurs de l'\u00E9poque, il est d'abord un pratiquant d'arts martiaux (sa sp\u00E9cialit\u00E9 est la \u00AB boxe du singe \u00BB) et remporte ainsi un tournoi en 1969. En 1977 il r\u00E9alise un film en ind\u00E9pendant, mais revient ensuite \u00E0 la Shaw. Sa carri\u00E8re d\u00E9cline \u00E0 partir des ann\u00E9es 80."@fr . . . . . . . . . . "\u062A\u0634\u0646 \u0643\u0648\u0627\u0646 \u062A\u0627\u0649"@arz . "Chen Kuan-tai"@fr . . . . "182396864"^^ . . . . . . . . . "Chen Kuan-tai est un acteur sp\u00E9cialis\u00E9 dans les arts martiaux n\u00E9 le 24 septembre 1945 dans la province du Guangdong. Contrairement \u00E0 la plupart des acteurs de l'\u00E9poque, il est d'abord un pratiquant d'arts martiaux (sa sp\u00E9cialit\u00E9 est la \u00AB boxe du singe \u00BB) et remporte ainsi un tournoi en 1969. Remarqu\u00E9 par Chang Cheh, il rejoint la Shaw Brothers en 1969, au moment de la vogue des films de kung fu. Apr\u00E8s des r\u00F4les de figurant ou d'homme de main dans une poign\u00E9e de films (il incarne ainsi deux gardes tu\u00E9s successivement dans le film Vengeance) il acc\u00E8de \u00E0 la notori\u00E9t\u00E9 gr\u00E2ce au succ\u00E8s du film de Chang Cheh Le Justicier de Shanghai dont il assure le r\u00F4le principal. Il est d'abord souvent associ\u00E9 aux acteurs f\u00E9tiches de Chang Cheh \u00E0 cette p\u00E9riode, David Chiang et Ti Lung, par exemple dans Fr\u00E8res de sang. En 1977 il r\u00E9alise un film en ind\u00E9pendant, mais revient ensuite \u00E0 la Shaw. Sa carri\u00E8re d\u00E9cline \u00E0 partir des ann\u00E9es 80."@fr . . . . . . . . . . "2956"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0427\u044D\u043D\u044C \u0413\u0443\u0430\u043D\u044C\u0442\u0430\u0439"@ru . . . "Chen Kuan-tai"@en . . . . . .