. . . . . . . . . . . . . . "C\u00E1mara de niebla"@es . . . . . . . . . . . . . . . . . "227865"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . "191120829"^^ . . . . . . . "19228"^^ . . . "Une chambre \u00E0 brouillard est un d\u00E9tecteur de particules qui montre sous la forme de tra\u00EEn\u00E9es de condensation le passage des particules nucl\u00E9aires dans la mati\u00E8re. Il s'agit d'une enceinte (\u00E9tanche ou non) dans laquelle une phase vapeur d'eau ou d'alcool sursatur\u00E9e est pr\u00E9sente. La sursaturation est cr\u00E9\u00E9e via deux principes physiques diff\u00E9rents : \n* par expansion du volume de l'enceinte via un piston : il s'agit des chambres \u00E0 expansion ou Chambre de Wilson (1911) ; \n* par refroidissement du support de l'enceinte : il s'agit des chambres \u00E0 diffusion ou Chambre de Langsdorf (1939). Les chambres de Wilson fonctionnent de mani\u00E8re \u00AB puls\u00E9e \u00BB, c'est-\u00E0-dire qu'elles ne montrent les rayonnements qu'une \u00E0 deux fois par minute \u00E9tant donn\u00E9 la n\u00E9cessit\u00E9 de r\u00E9aliser des cycles de d\u00E9tente via le piston. Le solvant utilis\u00E9 peut \u00EAtre de la vapeur d'eau ou un m\u00E9lange eau/alcool. Elles peuvent cependant fonctionner suivant un plan vertical pour voir les particules \u00AB venant d'en haut \u00BB ce qui explique leur utilisation jusque dans les ann\u00E9es 1950 pour l'\u00E9tude du rayonnement cosmique. Les chambres de Langsdorf (diffusion cloud chamber) fonctionnent uniquement avec une phase d'alcool pur, le froid extr\u00EAme (\u221230 \u00B0C) de la surface emp\u00EAchant l'utilisation d'eau (celle-ci cristalliserait). Le plan de fonctionnement est uniquement horizontal, la couche sursatur\u00E9e se mettant en place par gravit\u00E9 au-dessus de la surface refroidie. Les traces blanches observ\u00E9es dans ces machines sont constitu\u00E9es de milliers de gouttelettes d'eau ou d'alcool qui se sont condens\u00E9es l\u00E0 o\u00F9 est pass\u00E9e une particule nucl\u00E9aire. En fonction de la forme des trac\u00E9s (longueur, trajectoire, densit\u00E9 des gouttelettes), on pourra identifier la particule ayant travers\u00E9 le d\u00E9tecteur. Seules les particules nucl\u00E9aires charg\u00E9es (capable d'ioniser la mati\u00E8re) sont d\u00E9tectables dans les chambres \u00E0 brouillard. Au niveau de la mer, quatre particules sont commun\u00E9ment observables : les particules alpha, les protons, les \u00E9lectrons et les muons (bien que ces derniers soient tr\u00E8s discrets \u00E9tant donn\u00E9 leurs faibles interactions dans la mati\u00E8re dues \u00E0 leur vitesse relativiste)."@fr . . . . . . . "C\u00E2mara de Wilson"@pt . "Chambre \u00E0 brouillard"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u9727\u7BB1"@ja . . . . . "Une chambre \u00E0 brouillard est un d\u00E9tecteur de particules qui montre sous la forme de tra\u00EEn\u00E9es de condensation le passage des particules nucl\u00E9aires dans la mati\u00E8re. Il s'agit d'une enceinte (\u00E9tanche ou non) dans laquelle une phase vapeur d'eau ou d'alcool sursatur\u00E9e est pr\u00E9sente. La sursaturation est cr\u00E9\u00E9e via deux principes physiques diff\u00E9rents : \n* par expansion du volume de l'enceinte via un piston : il s'agit des chambres \u00E0 expansion ou Chambre de Wilson (1911) ; \n* par refroidissement du support de l'enceinte : il s'agit des chambres \u00E0 diffusion ou Chambre de Langsdorf (1939)."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Laino ganbera"@eu . . . . . . . . . . "Camera a nebbia"@it . . . . . . . . . . "\u041A\u0430\u043C\u0435\u0440\u0430 \u0412\u0456\u043B\u044C\u0441\u043E\u043D\u0430"@uk . . .