. "5128"^^ . . . . . "L'avant-train d'une voiture hippomobile (ou \u00AB train avant \u00BB en mati\u00E8re d' automobile) est l'ensemble constitu\u00E9 par l'essieu et les roues avant, ainsi que les \u00E9l\u00E9ments qui leur sont li\u00E9s, le timon ou la limoni\u00E8re (brancards), etc. L'avant-train est directement tract\u00E9 par le cheval et il assure la direction du v\u00E9hicule en pivotant autour d'une cheville ouvri\u00E8re plac\u00E9e au centre de l'essieu et \u00E0 l'extr\u00E9mit\u00E9 du ch\u00E2ssis qui supporte la caisse."@fr . . . . . . "Avant-train"@fr . . . "190891361"^^ . . . . . . . . . . . . . . "7348460"^^ . . . . . "L'avant-train d'une voiture hippomobile (ou \u00AB train avant \u00BB en mati\u00E8re d' automobile) est l'ensemble constitu\u00E9 par l'essieu et les roues avant, ainsi que les \u00E9l\u00E9ments qui leur sont li\u00E9s, le timon ou la limoni\u00E8re (brancards), etc. L'avant-train est directement tract\u00E9 par le cheval et il assure la direction du v\u00E9hicule en pivotant autour d'une cheville ouvri\u00E8re plac\u00E9e au centre de l'essieu et \u00E0 l'extr\u00E9mit\u00E9 du ch\u00E2ssis qui supporte la caisse. L'avant-train est une invention r\u00E9cente remontant \u00E0 la fin du Moyen-\u00E2ge comme la boussole, le gouvernail, les voilures type Marconi etc. facilitant les d\u00E9placements et la d\u00E9couverte de nouveaux territoires qui permirent une expansion des peuples et civilisations \u00E0 travers les continents. Voir les grandes d\u00E9couvertes d\u00E8s le 14e si\u00E8cle. Auparavant les chargements lourds et tr\u00E8s lourds \u00E9taient d\u00E9plac\u00E9s par roulage des charges sur le sol par l'interm\u00E9diaire de cylindres de bois, troncs d'arbres comme le faisait l'Egypte antique par exemple. Au fil des si\u00E8cles et vers le deuxi\u00E8me avant J.-C. les progr\u00E8s de la charronnerie en augmentant la solidit\u00E9 des roues par un meilleur usage du bois et de fer forg\u00E9 de qualit\u00E9, permettent de r\u00E9aliser des chars \u00E0 deux essieux rigides et quatre roues capables de supporter plusieurs tonnes. Mais la rigidit\u00E9 de l'ensemble ne permettait pas l'inscription en courbe du v\u00E9hicule qui devait alors \u00EAtre rip\u00E9 par des hommes munis de leviers ou un autre attelage de chevaux, de b\u0153ufs surtout, for\u00E7ant le v\u00E9hicule \u00E0 changer de direction. Dans les villes de la civilisation romaine le pavage des rues, en dehors de l'assainissement et de la facilit\u00E9 de voirie qu'il pouvait apporter permettait la circulation des chars et charrettes gr\u00E2ce \u00E0 des sillons trac\u00E9s dans le pavement et des blocs rehauss\u00E9s permettant en outre le passage \u00E0 gu\u00E9 des pi\u00E9tons d'un bord \u00E0 l'autre. Un bel exemple est donn\u00E9 par La Ruelle d'Eumachia et la Voie de La Fortune \u00E0 Pomp\u00E9i o\u00F9 l'on peut voir les sillons trac\u00E9s dans le pavage par l'usure due aux passages des roues ferr\u00E9es, ces sillons servant ainsi de guidage, comme une voie ferr\u00E9e."@fr . .