. . "1564"^^ . "104897500"^^ . . "En g\u00E9nie logiciel, l'attente passive est une technique de programmation que les processus peuvent utiliser pour attendre un acc\u00E8s \u00E0 une ressource partag\u00E9e. L'attente passive est \u00E0 comparer \u00E0 l'attente active. Lorsqu'un thread souhaite acqu\u00E9rir un mutex, il arrive soit \u00E0 l'acqu\u00E9rir, soit il doit attendre pour pouvoir y arriver. Dans ce deuxi\u00E8me cas, le thread doit attendre. S'il y a utilisation d'attente passive, alors le (ou les) thread n'utilise pas de temps processeur en attendant de pouvoir entrer dans la section critique."@fr . . . "En g\u00E9nie logiciel, l'attente passive est une technique de programmation que les processus peuvent utiliser pour attendre un acc\u00E8s \u00E0 une ressource partag\u00E9e. L'attente passive est \u00E0 comparer \u00E0 l'attente active. Lorsqu'un thread souhaite acqu\u00E9rir un mutex, il arrive soit \u00E0 l'acqu\u00E9rir, soit il doit attendre pour pouvoir y arriver. Dans ce deuxi\u00E8me cas, le thread doit attendre. S'il y a utilisation d'attente passive, alors le (ou les) thread n'utilise pas de temps processeur en attendant de pouvoir entrer dans la section critique. L'utilisation de l'attente passive permet de laisser la ressource processeur disponible \u00E0 un autre thread. Un exemple d'utilisation de l'attente passive dans le cas des techniques de synchronisation est l'utilisation de s\u00E9maphores. Une autre mani\u00E8re de mettre un thread en attente passive est d'utiliser la notion de mise en sommeil du thread. L'attente passive, bien que permettant \u00E0 une autre t\u00E2che de prendre la main, doit \u00EAtre \u00E9vit\u00E9e si le temps d'attente pr\u00E9vu est inf\u00E9rieur \u00E0 la dur\u00E9e de la commutation de contexte ; Dans ce genre de cas, l'attente active est plus efficace. Dans le cadre de syst\u00E8me multiprocesseurs, il est parfois n\u00E9cessaire d'utiliser de l'attente active au lieu de l'attente passive."@fr . . . . . "506265"^^ . . . . . "Attente passive"@fr . . . . . . . . . .