. . . . . . "http://www.allmusic.com/cg/amg.dll%3Fp=amg&sql=10:px3ibkj96akc~T1"^^ . "140406069"^^ . . . "Atomizer"@fr . . . . . . "Atomizer"@fr . . "Big Black, Iain Burgess"@fr . . . "Atomizer"@ru . . . . . . . "1984"^^ . . "2257.0"^^ . "1986"^^ . . . . . . "Atomizer (album)"@en . . . . . . . "album" . . . "2257.0"^^ . . . . . "37.61666666666667"^^ . . . "Atomizer est un album du groupe Big Black de Chicago. Il s'agit de leur premier album dans la mesure o\u00F9 tous leurs enregistrements publi\u00E9s pr\u00E9c\u00E9demment \u00E9taient des maxis. La version vinyle contient des notes explicatives \u00E0 propos des histoires \u00E9voqu\u00E9es dans les chansons. Le groupe fait parler de lui en bien et en mal. Si l'album fait scandale aupr\u00E8s de l'Am\u00E9rique bien pensante, il s'agit sans doute de la production la plus aboutie du groupe jusqu'alors, qui obtient un retentissement important dans la sc\u00E8ne ind\u00E9pendante et influencera bon nombre de groupes contemporains."@fr . . . . . . . "Atomizer"@fr . . . . . . . . . "2257.0"^^ . . . . . . "album"@fr . . "1986"^^ . . . . . . . . . "3086074"^^ . . . "?"@fr . . . "Atomizer"@it . . "AllMusic lien"@fr . . "Atomizer est un album du groupe Big Black de Chicago. Il s'agit de leur premier album dans la mesure o\u00F9 tous leurs enregistrements publi\u00E9s pr\u00E9c\u00E9demment \u00E9taient des maxis. La version vinyle contient des notes explicatives \u00E0 propos des histoires \u00E9voqu\u00E9es dans les chansons. Dans celles-ci, Steve Albini fait un \u00E9talage horrifiant des fl\u00E9aux qui secouent la soci\u00E9t\u00E9 am\u00E9ricaine : alcoolisme (Stinking Drunk), armes \u00E0 feu (Bazooka Joe), p\u00E9dophilie, etc. La chanson Jordan, Minnesota fait r\u00E9f\u00E9rence au scandale d'abus sexuels sur mineurs qu'avait connu la ville en 1983. D'autres sont inspir\u00E9es de son adolescence, dans la petite ville de Missoula, dans le Montana ; par exemple Cables parle de certains jeunes qu'il c\u00F4toyait au lyc\u00E9e, et qui se rendaient \u00E0 l'abattoir de la ville pour se divertir en assistant \u00E0 la mise \u00E0 mort des vaches, \u00AB C'\u00E9tait comme la t\u00E9l\u00E9 pour eux \u00BB. Le groupe fait parler de lui en bien et en mal. Si l'album fait scandale aupr\u00E8s de l'Am\u00E9rique bien pensante, il s'agit sans doute de la production la plus aboutie du groupe jusqu'alors, qui obtient un retentissement important dans la sc\u00E8ne ind\u00E9pendante et influencera bon nombre de groupes contemporains. L'album, \u00E0 l'origine publi\u00E9 chez Homestead Records, sort plus tard en version CD sur une compilation de Touch and Go Records incluant \u00E9galement le maxi Headache et le single Heartbeat, intitul\u00E9e The Rich Man's Eight Track Tape, qui omet cependant le morceau Strange Things ainsi que le livret de notes et tout l'artwork du LP original. Il figure sur la liste Les 1001 albums qu'il faut avoir \u00E9cout\u00E9s dans sa vie."@fr . . "3713"^^ . . . . . . . . .