"Lettres modernes. Diffusion Minard"@fr . . . . . . "Domange"@fr . . . . . . . "Le journal de Madame de Lamartine, m\u00E8re d'Alphonse de Lamartine : : 1766-1829"@fr . . . . . . "1871"^^ . . . . "4128"^^ . . . . . . . . . . . . . "1829-11-16"^^ . "de Lamartine"@fr . . . . . . . . . . . . . . "Paris"@fr . . . . . "Le manuscrit de ma m\u00E8re, 1877 : : 1766-1829"@fr . . . . . . . . . . "1276544"^^ . . . . "Michel"@fr . . . . . . . . . "Hachette. Furne, Jouvet et Cie. Pagnerre"@fr . . "182849676"^^ . . "Alix de Lamartine"@fr . . "Alix"@fr . "1983"^^ . . . . . . . . . "Fran\u00E7oise-Alix de Lamartine, n\u00E9e des Roys le 8 novembre 1766 \u00E0 Lyon et morte le 16 novembre 1829 \u00E0 M\u00E2con, est un \u00E9crivain fran\u00E7ais, m\u00E8re du po\u00E8te Alphonse de Lamartine. Fille d\u2019un intendant-g\u00E9n\u00E9ral et de la sous-gouvernante des enfants du duc d\u2019Orl\u00E9ans, Alix des Roys passa son enfance avec Louis-Philippe d\u2019Orl\u00E9ans et les jeunes princes de son \u00E2ge. Admise \u00E0 quinze ans chez les chanoinesses de Salles-en-Beaujolais pour y compl\u00E9ter son \u00E9ducation, elle y rencontra Pierre de Lamartine, seigneur, chevalier de Pratz, capitaine au r\u00E9giment Dauphin-cavalerie (21 septembre 1752, M\u00E2con-1840), qu\u2019elle devait \u00E9pouser \u00E0 Lyon le 7 janvier 1790. Ayant donn\u00E9 naissance au futur po\u00E8te le 21 octobre 1790, elle voit, alors que l\u2019enfant est \u00E2g\u00E9 de quatre ans, son mari qui avait d\u00E9fendu la famille royale aux Tui"@fr . "Fran\u00E7oise-Alix de Lamartine, n\u00E9e des Roys le 8 novembre 1766 \u00E0 Lyon et morte le 16 novembre 1829 \u00E0 M\u00E2con, est un \u00E9crivain fran\u00E7ais, m\u00E8re du po\u00E8te Alphonse de Lamartine. Fille d\u2019un intendant-g\u00E9n\u00E9ral et de la sous-gouvernante des enfants du duc d\u2019Orl\u00E9ans, Alix des Roys passa son enfance avec Louis-Philippe d\u2019Orl\u00E9ans et les jeunes princes de son \u00E2ge. Admise \u00E0 quinze ans chez les chanoinesses de Salles-en-Beaujolais pour y compl\u00E9ter son \u00E9ducation, elle y rencontra Pierre de Lamartine, seigneur, chevalier de Pratz, capitaine au r\u00E9giment Dauphin-cavalerie (21 septembre 1752, M\u00E2con-1840), qu\u2019elle devait \u00E9pouser \u00E0 Lyon le 7 janvier 1790. Ayant donn\u00E9 naissance au futur po\u00E8te le 21 octobre 1790, elle voit, alors que l\u2019enfant est \u00E2g\u00E9 de quatre ans, son mari qui avait d\u00E9fendu la famille royale aux Tuileries, subir \u00E0 M\u00E2con six mois d\u2019emprisonnement qui s\u2019ach\u00E8vent avec la fin de la Terreur. Le couple aura neuf enfants dont Marie-Sophie, la m\u00E8re de Charles du Pont de Ligonn\u00E8s. Alix de Lamartine avait pris l\u2019habitude d'\u00E9crire chaque soir, dans son journal intime, le r\u00E9sum\u00E9 de sa journ\u00E9e dans le dessein de faire plus r\u00E9guli\u00E8rement son examen de conscience, d'apprendre \u00E0 r\u00E9gler sa vie et de charmer ses longs moments de solitude intellectuelle. Elle ouvrit son premier cahier en 1801 \u2013 \u00E9poque o\u00F9, avec sa famille, elle r\u00E9side au ch\u00E2teau de Milly, acquis par son \u00E9poux en 1797 \u2013 et ferma le dernier en 1829. Son fils reprit cette \u0153uvre et la publia, en supprimant les passages trop intimes et en y effectuant des amendements. \u00C9mue \u00E0 l'annonce de l'\u00E9lection de son fils \u00E0 l\u2019Acad\u00E9mie fran\u00E7aise, elle s'\u00E9bouillanta en tentant de prendre un bain pour reprendre son calme et mourut apr\u00E8s quelques jours d\u2019agonie. Rentr\u00E9 \u00E0 M\u00E2con, son fils fit extraire, de nuit, son cercueil, l\u2019ouvrit et, apr\u00E8s avoir embrass\u00E9 sa m\u00E8re, fit transporter la bi\u00E8re \u00E0 Saint-Point."@fr . . . . . . . . "Alphonse"@fr .