"Agnes von Krusenstjerna"@br . . . "\u041A\u0440\u0443\u0441\u0435\u043D\u0448\u0435\u0440\u043D\u0430, \u0410\u0433\u043D\u0435\u0441 \u0444\u043E\u043D"@ru . . . . . "Agnes von Krusenstjerna"@fr . . . . "3265"^^ . . . . . "\u0627\u062C\u0646\u064A\u0633 \u06A4\u0648\u0646 \u0643\u0631\u0648\u0633\u064A\u0646\u0633\u062A\u0686\u064A\u0631\u0646\u0627"@arz . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Agnes von Krusenstjerna"@ca . . . . . . . . . . . . . . . . . "Agnes von Krusenstjerna"@pl . . . "176680595"^^ . . . . . "5904232"^^ . . . . . . . . . "Agnes von Krusenstjerna"@de . "Agnes von Krusentjerna [\u02CCa\u014B\u02D0n\u0259s f\u0254n\u02C8k\u0279\u0289\u02D0s\u0259n\u0283\u00E6\u02D0\u014Ba] (V\u00E4xj\u00F6, le 9 octobre 1894 - Stockholm, le 10 mars 1940) est une romanci\u00E8re su\u00E9doise. Elle naquit dans la province du Sm\u00E5land. Issue par son p\u00E8re comme sa m\u00E8re de l'aristocratie su\u00E9doise, elle compte de c\u00E9l\u00E8bres parents, tels son a\u00EFeul l'historien et po\u00E8te romantique Erik Gustaf Geijer, ou son oncle le ministre Edvard von Krusentjerna (1841-1907). Elle \u00E9pouse, en 1921, le psychanalyste et critique litt\u00E9raire . Sujette \u00E0 de graves crises d\u00E9pressives, elle doit s\u00E9journer dans des instituts sp\u00E9cialis\u00E9s. Atteinte d'une tumeur au cerveau, elle meurt sur la table d'op\u00E9ration. Elle repose au cimeti\u00E8re du Nord, pr\u00E8s de Stockholm."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . "Agnes von Krusenstjerna"@sv . . . . . . . . . . . . . . . "Agnes von Krusentjerna [\u02CCa\u014B\u02D0n\u0259s f\u0254n\u02C8k\u0279\u0289\u02D0s\u0259n\u0283\u00E6\u02D0\u014Ba] (V\u00E4xj\u00F6, le 9 octobre 1894 - Stockholm, le 10 mars 1940) est une romanci\u00E8re su\u00E9doise. Elle naquit dans la province du Sm\u00E5land. Issue par son p\u00E8re comme sa m\u00E8re de l'aristocratie su\u00E9doise, elle compte de c\u00E9l\u00E8bres parents, tels son a\u00EFeul l'historien et po\u00E8te romantique Erik Gustaf Geijer, ou son oncle le ministre Edvard von Krusentjerna (1841-1907). Elle \u00E9pouse, en 1921, le psychanalyste et critique litt\u00E9raire . Sujette \u00E0 de graves crises d\u00E9pressives, elle doit s\u00E9journer dans des instituts sp\u00E9cialis\u00E9s. Atteinte d'une tumeur au cerveau, elle meurt sur la table d'op\u00E9ration. Elle repose au cimeti\u00E8re du Nord, pr\u00E8s de Stockholm. Elle fait ses d\u00E9buts en litt\u00E9rature avec Le Journal de Nina (1917), mais c'est l'autobiographie d\u00E9guis\u00E9e de son enfance, Tony (3 vol., 1922-1926), qui la fit conna\u00EEtre, ainsi que la suite romanesque des Demoiselles von Pahlen (7 vol., 1930-1935). Encore faut-il pr\u00E9ciser que ce fut un succ\u00E8s de scandale que le sien. Insurg\u00E9e, rebelle aux conventions h\u00E9rit\u00E9es du romantisme, von Krusenstjerna exige et s'octroie la libert\u00E9 de tout \u00E9crire et de tout d\u00E9crire, y compris la folie et la sexualit\u00E9. D\u00E9bats et controverses s'ensuivirent, qui firent date dans l'histoire de la litt\u00E9rature su\u00E9doise contemporaine : on parla de Querelle de Krusenstjerna (Krusenstjernafejden). De 1933 \u00E0 1935, on agita la question de la libert\u00E9 d'expression, de la libert\u00E9 sexuelle, du droit des femmes \u00E0 librement parler, des rapports entre morale et litt\u00E9rature. Elle re\u00E7ut le soutien d'\u00E9crivains de premier plan : , , Eyvind Johnson, Karin Boye\u2026 Selon R\u00E9gis Boyer, sa prose est \u00AB d'une merveilleuse limpidit\u00E9, la plus belle peut-\u00EAtre que connaisse la litt\u00E9rature su\u00E9doise \u00BB. On regrettera donc que son \u0153uvre n'ait jamais \u00E9t\u00E9, \u00E0 ce jour, traduite en fran\u00E7ais."@fr . . . . . .