. . . . . . . "\u0411\u0438\u0430\u0440\u0435\u043D\u0442, \u0410\u0434\u043E\u043B\u044C\u0444"@ru . . . . "187328060"^^ . . . . . . . "Adolphe Biarent"@de . . . . . "4193"^^ . . . . . . . . . . . "\u0627\u062F\u0648\u0644\u0641 \u0628\u064A\u0627\u0631\u064A\u0646\u062A"@arz . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Adolphe Biarent (n\u00E9 le 16 octobre 1871 \u00E0 Frasnes-lez-Gosselies - Les Bons Villers \u2013 mort le 4 f\u00E9vrier 1916 \u00E0 Mont-sur-Marchienne) est un compositeur, chef d'orchestre, violoncelliste et p\u00E9dagogue belge. Il est \u00E9l\u00E8ve au conservatoire de Bruxelles et \u00E0 celui de Gand, notamment avec \u00C9mile Mathieu. Un Prix de Rome belge obtenu en 1901 avec sa cantate \u0152dipe \u00E0 Colone lui permet de d\u00E9couvrir l\u2019Italie et surtout l\u2019Autriche et l\u2019Allemagne, sur les traces de ses ma\u00EEtres pr\u00E9f\u00E9r\u00E9s, Beethoven et Wagner. De retour en Belgique, il mettra toute son \u00E9nergie \u00E0 doter Charleroi d\u2019une vie musicale de qualit\u00E9. Il est directeur du conservatoire de cette ville. Il a entre autres comme \u00E9l\u00E8ve Fernand Quinet. Son \u0153uvre, qui doit beaucoup \u00E0 Franck et Wagner, salue discr\u00E8tement celle de ses contemporains allemands et autrichiens."@fr . "Adolphe Biarent"@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Adolphe Biarent (n\u00E9 le 16 octobre 1871 \u00E0 Frasnes-lez-Gosselies - Les Bons Villers \u2013 mort le 4 f\u00E9vrier 1916 \u00E0 Mont-sur-Marchienne) est un compositeur, chef d'orchestre, violoncelliste et p\u00E9dagogue belge. Il est \u00E9l\u00E8ve au conservatoire de Bruxelles et \u00E0 celui de Gand, notamment avec \u00C9mile Mathieu. Un Prix de Rome belge obtenu en 1901 avec sa cantate \u0152dipe \u00E0 Colone lui permet de d\u00E9couvrir l\u2019Italie et surtout l\u2019Autriche et l\u2019Allemagne, sur les traces de ses ma\u00EEtres pr\u00E9f\u00E9r\u00E9s, Beethoven et Wagner."@fr . . . . "1871-10-16"^^ . . . . . . . . . . "1428228"^^ . . . . . . . . . "Adolphe Biarent"@fr . . . . . . . . . . . .