"6to4"@es . . . . . . "6to4"@pl . "6to4"@fr . . . . "6to4"@ru . . . . . . "350130"^^ . . "6to4"@de . . . . "9697"^^ . "6to4"@en . . . "187738569"^^ . . . . . "6to4 (parfois \u00E9crit \u00AB 6 to 4 \u00BB) est une m\u00E9thode de transition d'IPv4 vers IPv6 d\u00E9finie dans la RFC 3056 et qui permet \u00E0 un r\u00E9seau IPv6 isol\u00E9 de communiquer en IPv6 avec un autre r\u00E9seau IPv6 \u00E0 travers un r\u00E9seau IPv4. 6to4 est utile quand deux h\u00F4tes souhaitent \u00E9changer des informations en IPv6 mais qu'une portion du r\u00E9seau qui les s\u00E9pare ne supporte que IPv4. 6to4 peut \u00EAtre utilis\u00E9 par un ordinateur seul ou par un r\u00E9seau local IPv6. Utilis\u00E9 par un ordinateur seul, ce dernier doit imp\u00E9rativement avoir une connexion IPv4 et une adresse IPv4 publique. Il est alors responsable de l'encapsulation des paquets IPv6 sortants et de la d\u00E9capsulation des paquets IPv6 entrants. Quand 6to4 est utilis\u00E9 par un r\u00E9seau local, l'ensemble du r\u00E9seau n'a besoin que d'une seule adresse IPv4 publique et un ordinateur servira de passerelle. \u00C0 l'int\u00E9rieur du r\u00E9seau, les h\u00F4tes r\u00E9cup\u00E8rent leurs baux IPv6 et tables de routages en utilisant leurs protocoles d'identification classiques, juste comme s'ils \u00E9taient sur un r\u00E9seau IPv6. 6to4 ne permet pas l'interop\u00E9ration entre les h\u00F4tes uniquement IPv4 et les h\u00F4tes uniquement IPv6."@fr . . . . . . . . . . . . "6to4"@ca . . "6to4 (parfois \u00E9crit \u00AB 6 to 4 \u00BB) est une m\u00E9thode de transition d'IPv4 vers IPv6 d\u00E9finie dans la RFC 3056 et qui permet \u00E0 un r\u00E9seau IPv6 isol\u00E9 de communiquer en IPv6 avec un autre r\u00E9seau IPv6 \u00E0 travers un r\u00E9seau IPv4. 6to4 est utile quand deux h\u00F4tes souhaitent \u00E9changer des informations en IPv6 mais qu'une portion du r\u00E9seau qui les s\u00E9pare ne supporte que IPv4. 6to4 ne permet pas l'interop\u00E9ration entre les h\u00F4tes uniquement IPv4 et les h\u00F4tes uniquement IPv6."@fr . . . . . . . . .