"Edipo (S\u00E9neca)"@es . . . . . "\u0152dipe est une trag\u00E9die de l'auteur romain S\u00E9n\u00E8que. L'auteur reprend le mythe d'\u0152dipe, qui est d\u00E9j\u00E0 bien connu. R\u00E9sum\u00E9 d\u00E9taill\u00E9 La pi\u00E8ce commence par un monologue d\u2019\u0152dipe qui fait office de prologue. Le protagoniste d\u00E9crit la peste qui s\u00E9vit sur sa ville et s'interroge sur les causes du fl\u00E9au, en exposant \u00E9galement ses peurs et ses angoisses. Jocaste, nouant ensuite le dialogue avec lui, lui reproche ses d\u00E9sirs de fuite et l\u2019encourage \u00E0 la fermet\u00E9 devant la difficult\u00E9. Le premier chant du ch\u0153ur est fortement li\u00E9 avec les \u00E9v\u00E8nements de la fiction tragique : il d\u00E9crit sous toutes ses formes la mort qui s'abat sur la ville. L'acte II est compos\u00E9 d'un dialogue entre \u0152dipe et Cr\u00E9on, o\u00F9 le second r\u00E9v\u00E8le au premier le contenu d'un oracle d'Apollon. Le meurtrier de La\u00EFus, roi de la ville de Th\u00E8bes, doit \u00EAtre ch\u00E2ti\u00E9. La deuxi\u00E8me sc\u00E8ne est celle du sacrifice conduit par Tir\u00E9sias et d\u00E9crit par Mant\u00F4, dans lequel les signes inhabituel et effrayants font conclure au devin qu'il faut tenter autre chose pour savoir la v\u00E9rit\u00E9. Le deuxi\u00E8me chant du ch\u0153ur est une ode \u00E0 un dieu qui a sa patrie \u00E0 Th\u00E8bes. L'acte III est encadr\u00E9 par deux dialogues entre \u0152dipe et Cr\u00E9on. \u0152dipe demande \u00E0 nouveau le nom du coupable \u00E0 Cr\u00E9on, qui ne veut pas r\u00E9pondre. Il emploie alors un moyen d\u00E9tourn\u00E9, le r\u00E9cit de l\u2019\u00E9vocation du fant\u00F4me de La\u00EFus, qui, dans un discours rapport\u00E9, r\u00E9v\u00E8le les causes du fl\u00E9au : un roi souill\u00E9 de crimes. Le dialogue qui cl\u00F4t l'acte, marqu\u00E9 par la querelle entre les deux hommes, se termine par l'enfermement de Cr\u00E9on ordonn\u00E9 par \u0152dipe qui croit \u00E0 une machination politique de son beau fr\u00E8re. Le ch\u0153ur \u00E9voque dans son troisi\u00E8me chant la mal\u00E9diction qui frappe la terre th\u00E9baine, depuis tr\u00E8s longtemps, puisque ses maux remontent \u00E0 l\u2019arriv\u00E9e de Cadmos. L'acte IV est celui des souvenirs qui affleurent, par degr\u00E9s. \u0152dipe, face \u00E0 Jocaste, dit se souvenir d'avoir tu\u00E9 un homme \u00E0 un carrefour. Un Vieillard corinthien, apr\u00E8s bien des retenues, avoue avoir recueilli un enfant bless\u00E9. Phorbas, \u00E0 son tour, reconna\u00EEt \u00EAtre le berger qui a remis cet enfant au Vieillard, un enfant de Jocaste. Le quatri\u00E8me ch\u0153ur est le plus distant des \u00E9v\u00E8nements des diuerbia : il rappelle, gr\u00E2ce \u00E0 l'exemplum mythique de D\u00E9dale, que tout ce qui d\u00E9passe la mesure est instable, le\u00E7on qui s\u2019applique toutefois au drame d\u2019\u0152dipe. Le r\u00E9cit du messager occupe tout l'acte V, o\u00F9 l'on apprend comment \u0152dipe, apr\u00E8s avoir commis qu'il a r\u00E9alis\u00E9 son destin criminel en voulant l\u2019\u00E9viter, s'est aveugl\u00E9 pour le punir. Le dernier ch\u0153ur chante la toute puissance des destins, th\u00E8me clef de la trag\u00E9die. Le dernier acte remet en sc\u00E8ne le couple royal, \u0152dipe et Jocaste, lesquels, apr\u00E8s les terribles r\u00E9v\u00E9lations, ne savent plus comment se nommer ni comment se parler Jocaste, en voyant son \u00E9poux et fils ainsi d\u00E9figur\u00E9 et incapable de soutenir le poids de la faute, d\u00E9sire se punir elle aussi et se tuer sur sc\u00E8ne. \u0152dipe, seul accabl\u00E9 de malheurs, se condamne \u00E0 l\u2019exil."@fr . . . "\u0152dipe (S\u00E9n\u00E8que)"@fr . . . . . "\u042D\u0434\u0438\u043F (\u0421\u0435\u043D\u0435\u043A\u0430)"@ru . . "3344"^^ . . . . . . . . . . . . "Edipo (Seneca)"@it . "59741"^^ . . . "\u0152dipe est une trag\u00E9die de l'auteur romain S\u00E9n\u00E8que. L'auteur reprend le mythe d'\u0152dipe, qui est d\u00E9j\u00E0 bien connu. R\u00E9sum\u00E9 d\u00E9taill\u00E9 La pi\u00E8ce commence par un monologue d\u2019\u0152dipe qui fait office de prologue. Le protagoniste d\u00E9crit la peste qui s\u00E9vit sur sa ville et s'interroge sur les causes du fl\u00E9au, en exposant \u00E9galement ses peurs et ses angoisses. Jocaste, nouant ensuite le dialogue avec lui, lui reproche ses d\u00E9sirs de fuite et l\u2019encourage \u00E0 la fermet\u00E9 devant la difficult\u00E9. Le premier chant du ch\u0153ur est fortement li\u00E9 avec les \u00E9v\u00E8nements de la fiction tragique : il d\u00E9crit sous toutes ses formes la mort qui s'abat sur la ville."@fr . . . . . . . . . . "182734219"^^ . . "Oedipus (Seneca)"@en . . "\u00C9dipo (S\u00EAneca)"@pt . .