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  • Marthae Marchinae Virginis Neapolitanae Musa Postuma (en)
  • Marthae Marchinae Musa Posthuma (fr)
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  • Marthae Marchinae Virginis Neapolitanae Musa Posthuma (soit en français, « La Muse posthume de , jeune fille napolitaine ») est un ouvrage paru pour la première fois à Rome en 1662, seize ans après la mort de la poétesse. Le livre contient un recueil de poèmes latins, en majorité des épigrammes, mais aussi des odes, ainsi que des lettres écrites par Martha Marchina. Celle-ci fut ainsi une autrice des débuts de l’époque moderne. Elle était d’origine modeste – sa famille fabriquait et vendait du savon. Les poèmes réunis dans l’ouvrage sont issus de la collection privée de Virgilio Spada, le frère du Cardinal Bernardino Spada, qui fut le bienfaiteur de Martha Marchina. (fr)
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  • Marthae Marchinae Virginis Neapolitanae Musa Posthuma (soit en français, « La Muse posthume de , jeune fille napolitaine ») est un ouvrage paru pour la première fois à Rome en 1662, seize ans après la mort de la poétesse. Le livre contient un recueil de poèmes latins, en majorité des épigrammes, mais aussi des odes, ainsi que des lettres écrites par Martha Marchina. Celle-ci fut ainsi une autrice des débuts de l’époque moderne. Elle était d’origine modeste – sa famille fabriquait et vendait du savon. Les poèmes réunis dans l’ouvrage sont issus de la collection privée de Virgilio Spada, le frère du Cardinal Bernardino Spada, qui fut le bienfaiteur de Martha Marchina. La Sirène qui figure sur la page de titre de l'ouvrage (dans sa deuxième édition, à Naples en 1701, voir l'illustration ci-après) se retrouve dès les premiers mots de la Vie de Martha Marchina donnée en amont des poèmes: elle est saluée comme la “nouvelle Sirène” qui a redonné à sa ville son nom ancien, “Parthenope” (le nom d’une des Sirènes, qui devint celui de Naples). (fr)
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