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| - La mère supérieure Mariám Soulakiótis, en grec moderne : Μαριάμ Σουλακιώτη, (vers 1883 - 23 novembre 1954), également appelée Mariam Soulakiotou, en grec moderne : Μαριάμ Σουλακιώτου, surnommée dans la presse « la femme Raspoutine », en grec moderne : Η γυναίκα Ρασπούτιν, est une abbesse grecque orthodoxe et une tueuse en série, active entre 1939 et 1951. Arrêtée en décembre 1950, elle est inculpée par les autorités grecques en février 1951 pour homicide, fraude, falsification de testament, chantage et torture. Condamnée à la prison à vie, en 1952, elle meurt dans les prisons d'Avérof, en 1954. (fr)
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| - La mère supérieure Mariám Soulakiótis, en grec moderne : Μαριάμ Σουλακιώτη, (vers 1883 - 23 novembre 1954), également appelée Mariam Soulakiotou, en grec moderne : Μαριάμ Σουλακιώτου, surnommée dans la presse « la femme Raspoutine », en grec moderne : Η γυναίκα Ρασπούτιν, est une abbesse grecque orthodoxe et une tueuse en série, active entre 1939 et 1951. Arrêtée en décembre 1950, elle est inculpée par les autorités grecques en février 1951 pour homicide, fraude, falsification de testament, chantage et torture. Condamnée à la prison à vie, en 1952, elle meurt dans les prisons d'Avérof, en 1954. Mariám Soulakiótis aurait commis ses crimes dans le monastère de Peukovounogiatríssis (Μονή Παναγίας Πευκοβουνογιατρίσσης), près de Keratea, en Grèce. Depuis 2008, le monastère reste ouvert et compte toujours des membres qui croient en son innocence et la vénèrent en tant que sainte. (fr)
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