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| - Gouvernement Aristide Briand (7) (fr)
- Kabinett Briand VII (de)
- Седьмое правительство Бриана (ru)
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| - À la suite de la conférence de Londres, Briand fait preuve de fermeté sur la question des réparations allemandes. Alors que les troupes franco-belges occupent Düsseldorf et Duisbourg, il déclare le 5 avril 1922 devant le Sénat que « si, l'échéance arrivée, l'Allemagne essaie par de nouvelles tergiversations de se soustraire à ses obligations, c'est une main ferme qui s'abattra sur son collet ». Cette attitude semble d'abord efficace, dans la mesure où les versements allemands ont lieu à temps. Rapidement pourtant, Briand se heurte à l'hostilité des Britanniques. Sur fond de rivalités coloniales en Afrique du Nord, Lloyd George manifeste son désaveu de la diplomatie française. Au fil des contacts diplomatiques, la position du Ministre des Affaires étrangères évolue vers plus de pragmatisme: (fr)
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| - Membres du gouvernement Briand en . (fr)
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| - Président de la République (fr)
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| - À la suite de la conférence de Londres, Briand fait preuve de fermeté sur la question des réparations allemandes. Alors que les troupes franco-belges occupent Düsseldorf et Duisbourg, il déclare le 5 avril 1922 devant le Sénat que « si, l'échéance arrivée, l'Allemagne essaie par de nouvelles tergiversations de se soustraire à ses obligations, c'est une main ferme qui s'abattra sur son collet ». Cette attitude semble d'abord efficace, dans la mesure où les versements allemands ont lieu à temps. Rapidement pourtant, Briand se heurte à l'hostilité des Britanniques. Sur fond de rivalités coloniales en Afrique du Nord, Lloyd George manifeste son désaveu de la diplomatie française. Au fil des contacts diplomatiques, la position du Ministre des Affaires étrangères évolue vers plus de pragmatisme: « l'Allemagne paiera si elle peut », déclare-t-il à Wiesbaden en juillet 1921. Alors qu'un projet d'accord franco-britannique garantissant les frontières françaises pendant dix ans, Briand se trouve de plus en plus isolé sur la scène politique nationale. Le président de la République, Millerand, organise un Conseil des ministres en son absence, affront qui contraint le président du Conseil à la démission le 12 janvier 1922. (fr)
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