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| - Complainte pour Sainte-Catherine est une chanson québécoise montréalaise composée par Anna McGarrigle, du duo des Sœurs McGarrigle, écrite par Philippe Tatartcheff. Cette première chanson des sœurs duettistes McGarrigle, écrite et composée au début des années 1970 parut d'abord sur 45 tours d'essai (petit vinyle dit single), puis, en 1975, sur le premier album — de même titre — du duo de Kate et Anna McGarrigle, et retranscrite sur leur 4e album (Entre Lajeunesse et la sagesse, 1981, 2004), tant elle séduisait les auditoires, pas seulement à Montréal, mais partout où elle fut entendue, même auprès des auditoires ne comprenant pas le français ni les particularités de Montréal, la métropole du Québec. Elle fut partout sur la planète une chanson phare du duo McGarrigle, même en Angleterre (dè (fr)
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| - Complainte pour Sainte-Catherine est une chanson québécoise montréalaise composée par Anna McGarrigle, du duo des Sœurs McGarrigle, écrite par Philippe Tatartcheff. Cette première chanson des sœurs duettistes McGarrigle, écrite et composée au début des années 1970 parut d'abord sur 45 tours d'essai (petit vinyle dit single), puis, en 1975, sur le premier album — de même titre — du duo de Kate et Anna McGarrigle, et retranscrite sur leur 4e album (Entre Lajeunesse et la sagesse, 1981, 2004), tant elle séduisait les auditoires, pas seulement à Montréal, mais partout où elle fut entendue, même auprès des auditoires ne comprenant pas le français ni les particularités de Montréal, la métropole du Québec. Elle fut partout sur la planète une chanson phare du duo McGarrigle, même en Angleterre (dès 1976) et Allemagne (1981), où le duo fut invité à chanter à la télévision. Au premier degré d'interprétation, le texte de la chanson fait d'abord référence directe à une promenade sous la rue Sainte-Catherine de Montréal, dans les espaces souterrains offrant la chaleur recherchée, venant du métro qu'on y trouve, sous les vitrines (commerciales) qui sont dans le froid hiver et qui ne serviraient d'ailleurs à la promeneuse qu'à s'y mirer… : « Moi j'me promèn' sur Ste-Cath'rine / J'profit' d'la chaleur du métro / J'me regard' pas dans les vitrines / Quand y fait trent' en d'ssous d'zéro ». Cette chanson reste d'abord mystérieuse, car ses paroles n'expriment, d'emblée, ni complainte, ni lamentation, ni n'en annoncent autrement que par le titre. Par ailleurs, la musique et l'interprétation pourraient faire croire que c'est une complainte, voire une pseudo-complainte quelque peu moqueuse. — S'y moquerait-on un tant soit peu, ainsi, des gens trop souvent plaintifs, geignards, chialeurs, récriminateurs, revendicateurs… ? (fr)
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