. . . . . . . . . . . . . "Ti\u1EC3u nhi kinh"@vi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "46660"^^ . . . . . . . . . . "Xiao'erjing"@fr . . . . . . . "de"@fr . . . . . "Daxue-Xixiang-Moschee"@fr . . . . "\u0643\u062A\u0627\u0628\u0629 \u0639\u0631\u0628\u064A\u0629 \u0635\u064A\u0646\u064A\u0629"@ar . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0634\u064A\u0627\u0648\u0631\u062C\u0646"@arz . . . . . . "\u5C0F\u7ECF"@fr . . . . . . "186011653"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u5C0F\u513F\u9526"@fr . . . . "\u6D88\u7ECF"@fr . . "On appelle xiao'erjing (\u5C0F\u513F\u7ECF, xi\u01CEo'\u00E9rj\u012Bng), xiao'erjin (\u5C0F\u513F\u9526, xi\u01CEo'\u00E9rj\u01D0n, \u0634\u0650\u064A\u064E\u0648\u0652 \u0639\u064E\u0631 \u062F\u064D, \u0429\u0451\u0440\u0497\u0438\u043D /\u0255j\u00E0u.\u01CE\u025A.t\u0255\u00ED\u014B/) ou xiaojing (\u5C0F\u7ECF ou \u6D88\u7ECF) la transcription des langues chinoises telles que le mandarin (et en particulier ses dialectes lanyin (de Lanzhou et Yinchuan), zhongyuan (de plaine centrale) et du nord-est) ou la langue doungane au moyen de l'\u00E9criture arabe. C'est une pratique en vigueur aupr\u00E8s d'une partie des minorit\u00E9s ethniques de Chine qui ont adh\u00E9r\u00E9 \u00E0 l'islam (c'est-\u00E0-dire essentiellement les Hui, mais \u00E9galement les Dongxiang et les Salar), et anciennement leurs descendants install\u00E9s en Asie centrale, les Dounganes. Les r\u00E9formes de l'\u00E9criture op\u00E9r\u00E9es par l'Union sovi\u00E9tique oblig\u00E8rent les Dounganes \u00E0 utiliser d'abord l'alphabet latin, puis l'alphabet cyrillique pour \u00E9crire la langue dou"@fr . . . . . "Xiao\u2019erjing"@pl . . . . . . . . . . . . . . . "xi\u01CEo'\u00E9rj\u01D0n"@fr . . "1529008"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u5C0F\u513F\u7ECF"@zh . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "o"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . "On appelle xiao'erjing (\u5C0F\u513F\u7ECF, xi\u01CEo'\u00E9rj\u012Bng), xiao'erjin (\u5C0F\u513F\u9526, xi\u01CEo'\u00E9rj\u01D0n, \u0634\u0650\u064A\u064E\u0648\u0652 \u0639\u064E\u0631 \u062F\u064D, \u0429\u0451\u0440\u0497\u0438\u043D /\u0255j\u00E0u.\u01CE\u025A.t\u0255\u00ED\u014B/) ou xiaojing (\u5C0F\u7ECF ou \u6D88\u7ECF) la transcription des langues chinoises telles que le mandarin (et en particulier ses dialectes lanyin (de Lanzhou et Yinchuan), zhongyuan (de plaine centrale) et du nord-est) ou la langue doungane au moyen de l'\u00E9criture arabe. C'est une pratique en vigueur aupr\u00E8s d'une partie des minorit\u00E9s ethniques de Chine qui ont adh\u00E9r\u00E9 \u00E0 l'islam (c'est-\u00E0-dire essentiellement les Hui, mais \u00E9galement les Dongxiang et les Salar), et anciennement leurs descendants install\u00E9s en Asie centrale, les Dounganes. Les r\u00E9formes de l'\u00E9criture op\u00E9r\u00E9es par l'Union sovi\u00E9tique oblig\u00E8rent les Dounganes \u00E0 utiliser d'abord l'alphabet latin, puis l'alphabet cyrillique pour \u00E9crire la langue doungane, afin d'unifier l'\u00E9criture de l'Union. Le xiao'erjing s'\u00E9crit de droite \u00E0 gauche, comme toute \u00E9criture utilisant l'alphabet arabe. Il utilise le m\u00EAme principe que le syst\u00E8me d'\u00E9criture actuel de la langue ou\u00EFghour, dans lequel les voyelles sont exprim\u00E9es explicitement. Il s'agit donc d'une \u00E9criture qui utilise un alphabet, et non un abjad comme en arabe, en persan ou en ourdou. C'est vraisemblablement d\u00FB \u00E0 l'importance des voyelles dans la langue chinoise, langue dont le grand nombre d'homophones constitue d\u00E9j\u00E0 une difficult\u00E9 \u00E0 l'oral ; simplifier davantage l'\u00E9crit par rapport \u00E0 l'oral rendrait sans doute l'\u00E9criture incompr\u00E9hensible."@fr . . "Xiao'erjing"@nl . . . . . . . . . . . . . . . . "mosqu\u00E9e Daxue Xixiang"@fr . . . "Xiao'erjing"@es . . . . . . . "\u5C0F\u513F\u7ECF"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . "xi\u01CEo'\u00E9rj\u012Bng"@fr . . . . . . . "mosqu\u00E9e Daxue Xixiang"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . .