. . . . . . . . . . . . . . . "William Lower"@fr . . . . . . . . . . "4152898"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . "3853"^^ . "171319977"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "William Lower (vers 1570 \u2013 12 avril 1615), est un astronome anglais, si\u00E9geant \u00E0 la Chambre des communes et ami du math\u00E9maticien Thomas Harriot. Fils a\u00EEn\u00E9 d'un gentilhomme de Cornouailles, William Lower a fr\u00E9quent\u00E9 l'Universit\u00E9 d'Oxford avant de poursuivre des \u00E9tudes de droit. Mais en 1591, il est expuls\u00E9 de l'\u00E9cole de droit du Middle Temple apr\u00E8s avoir suivi un mon\u00F4me d'\u00E9tudiants et l'ann\u00E9e suivante, il est poursuivi pour infamie devant la terrible Chambre \u00E9toil\u00E9e."@fr . . . . . . . . . . . . . . . "William Lower (vers 1570 \u2013 12 avril 1615), est un astronome anglais, si\u00E9geant \u00E0 la Chambre des communes et ami du math\u00E9maticien Thomas Harriot. Fils a\u00EEn\u00E9 d'un gentilhomme de Cornouailles, William Lower a fr\u00E9quent\u00E9 l'Universit\u00E9 d'Oxford avant de poursuivre des \u00E9tudes de droit. Mais en 1591, il est expuls\u00E9 de l'\u00E9cole de droit du Middle Temple apr\u00E8s avoir suivi un mon\u00F4me d'\u00E9tudiants et l'ann\u00E9e suivante, il est poursuivi pour infamie devant la terrible Chambre \u00E9toil\u00E9e. Ces d\u00E9buts prometteurs ne l'emp\u00EAchent pas, n\u00E9anmoins, de r\u00E9unir sur lui des suffrages : \u00E9lu au Parlement \u00E0 Bodmin puis \u00E0 Lostwithiel, il p\u00E9n\u00E8tre en 1604, dans le cercle ferm\u00E9 des amis du 3e comte d'Essex. Mieux, en f\u00E9vrier 1605 il \u00E9pouse Penelope Perrot, de la maison des Saint Clair, Baronets du pays de Galles, l'une des belles-filles du 9e comte de Northumberland, Henri Percy. Or, en novembre 1605 le comte Henry Percy, soup\u00E7onn\u00E9 de complicit\u00E9 dans la conspiration des poudres, l'entra\u00EEne dans sa chute. Tortur\u00E9, les doigts br\u00FBl\u00E9s, William Lower se retire apr\u00E8s ce coup dans la solitude de ses terres du Carmarthenshire (en r\u00E9alit\u00E9 celles de son \u00E9pouse). De ses terres, il entretient une correspondance nourrie avec Thomas Harriot, qu'il a rencontr\u00E9 dans le cercle des savants du comte Percy. Sur ses conseils, William Lower s'initie \u00E0 l'alg\u00E8bre puis aux lois de la r\u00E9fraction de la lumi\u00E8re. En 1607, fascin\u00E9 par l'astronomie, il travaille avec John Protheroe sur la premi\u00E8re lunette de fabrication britannique et r\u00E9alise ainsi l'une des premi\u00E8res observations de la com\u00E8te de Halley. En juin 1610 William Lower re\u00E7oit d'Harriot un r\u00E9sum\u00E9 du fameux livre de Galil\u00E9e publi\u00E9 en mars de la m\u00EAme ann\u00E9e, le c\u00E9l\u00E8bre Nuncius Sidereus qui r\u00E9v\u00E8le l'existence des satellites de Jupiter. Il observe lui-m\u00EAme certains des satellites de Jupiter avec Harriot. Absorb\u00E9 dans ces recherches, il oublie d'assister \u00E0 la premi\u00E8re session parlementaire de 1610. En 1611, il reprend les calculs de Kepler relatifs \u00E0 l'orbite de Mars et devient un pr\u00E9cieux assistant pour Harriot mais sa mort, en avril 1615, interrompt leur fructueuse collaboration."@fr .