. "Une wild card (anglicisme \u00E9galement abr\u00E9g\u00E9 WC), \u00E9galement appel\u00E9e invitation privil\u00E9gi\u00E9e, ou tout simplement invitation, est un terme utilis\u00E9 en tennis pour d\u00E9signer une autorisation exceptionnelle accord\u00E9e \u00E0 un joueur ou une joueuse de participer \u00E0 un tournoi bien qu'il ou elle ne r\u00E9ponde pas aux crit\u00E8res communs de s\u00E9lection. Deux joueurs sont parvenus \u00E0 remporter un tournoi du Grand chelem avec une wild card : Goran Ivani\u0161evi\u0107 (125e mondial) \u00E0 Wimbledon 2001 et Kim Clijsters (non class\u00E9e) \u00E0 l'US Open 2009."@fr . . . . "957990"^^ . . . . . . . "133640134"^^ . . . . "Wild card (tennis)"@fr . . . . . . . . . . . "3033"^^ . "Une wild card (anglicisme \u00E9galement abr\u00E9g\u00E9 WC), \u00E9galement appel\u00E9e invitation privil\u00E9gi\u00E9e, ou tout simplement invitation, est un terme utilis\u00E9 en tennis pour d\u00E9signer une autorisation exceptionnelle accord\u00E9e \u00E0 un joueur ou une joueuse de participer \u00E0 un tournoi bien qu'il ou elle ne r\u00E9ponde pas aux crit\u00E8res communs de s\u00E9lection. Les joueurs b\u00E9n\u00E9ficiaires d'une telle invitation sont directement admis dans le tableau final ou dans le tableau des qualifications, lorsque des \u00AB cases vides \u00BB y sont sp\u00E9cialement am\u00E9nag\u00E9es. Ces joueurs d\u00E9rogent donc \u00E0 l'ordre impos\u00E9 par le classement ATP (hommes) ou WTA (femmes). Des joueurs revenus d'une longue blessure (et redescendus brutalement dans la hi\u00E9rarchie mondiale) ou susceptibles de drainer un large public peuvent aussi se voir offrir une wild card, m\u00EAme s'ils sont le plus souvent b\u00E9n\u00E9ficiaires d'un classement prot\u00E9g\u00E9. De mani\u00E8re g\u00E9n\u00E9rale, ces invitations servent \u00E0 mettre en avant les joueurs locaux ou les meilleurs joueurs nationaux dans les pays o\u00F9 le tennis n'est pas tr\u00E8s expos\u00E9. Le principe des wild cards (distribu\u00E9es \u00E0 la discr\u00E9tion des organisateurs) n'est pas sans susciter parfois des pol\u00E9miques, comme cela a pu \u00EAtre le cas par exemple avec Marko Djokovic, le petit fr\u00E8re de Novak, qui a re\u00E7u plusieurs invitations pour des tournois ATP et Challenger alors qu'il n'a jamais fait partie des 500 meilleurs mondiaux. Dans le cas des tournois du Grand Chelem, ces invitations font l'objet d'\u00E9changes entre f\u00E9d\u00E9rations nationales. La F\u00E9d\u00E9ration fran\u00E7aise de tennis octroie par exemple une wild card \u00E0 un joueur australien pour Roland-Garros ; la f\u00E9d\u00E9ration australienne fait alors de m\u00EAme en faveur d'un joueur fran\u00E7ais \u00E0 l'Open d'Australie. Deux joueurs sont parvenus \u00E0 remporter un tournoi du Grand chelem avec une wild card : Goran Ivani\u0161evi\u0107 (125e mondial) \u00E0 Wimbledon 2001 et Kim Clijsters (non class\u00E9e) \u00E0 l'US Open 2009."@fr . . . . . .