"183237461"^^ . . . . . . . . . . . . . "v\u00E9nalit\u00E9"@fr . . . . . "La v\u00E9nalit\u00E9 des charges ou v\u00E9nalit\u00E9 des offices d\u00E9signe un syst\u00E8me, propre \u00E0 certaines soci\u00E9t\u00E9s, dans lequel les fonctions et charges sont attribu\u00E9es comme un bien monnayable : la personne d\u00E9sirant occuper une charge doit s'acquitter pour cela d'une certaine somme d'argent. La v\u00E9nalit\u00E9 des offices est une pratique qui s\u2019est mise en place en France sous l\u2019Ancien R\u00E9gime. Elle a consist\u00E9 en l\u2019attribution d\u2019une valeur financi\u00E8re aux charges exerc\u00E9es par les agents administratifs royaux. Il s\u2019agit de la premi\u00E8re \u00E9tape vers le syst\u00E8me de la patrimonialit\u00E9 des offices, qui est compl\u00E9t\u00E9 par l\u2019h\u00E9r\u00E9dit\u00E9 de ces m\u00EAmes charges."@fr . "997072"^^ . "v\u00E9nalit\u00E9"@fr . . . . . . . . . . . "La v\u00E9nalit\u00E9 des charges ou v\u00E9nalit\u00E9 des offices d\u00E9signe un syst\u00E8me, propre \u00E0 certaines soci\u00E9t\u00E9s, dans lequel les fonctions et charges sont attribu\u00E9es comme un bien monnayable : la personne d\u00E9sirant occuper une charge doit s'acquitter pour cela d'une certaine somme d'argent. La v\u00E9nalit\u00E9 des offices est une pratique qui s\u2019est mise en place en France sous l\u2019Ancien R\u00E9gime. Elle a consist\u00E9 en l\u2019attribution d\u2019une valeur financi\u00E8re aux charges exerc\u00E9es par les agents administratifs royaux. Il s\u2019agit de la premi\u00E8re \u00E9tape vers le syst\u00E8me de la patrimonialit\u00E9 des offices, qui est compl\u00E9t\u00E9 par l\u2019h\u00E9r\u00E9dit\u00E9 de ces m\u00EAmes charges. Ce syst\u00E8me s'oppose \u00E0 d'autres syst\u00E8mes d'attribution des charges, notamment au m\u00E9rite (dipl\u00F4me, exp\u00E9rience, formations reconnues), \u00E0 l'anciennet\u00E9, etc."@fr . . . . . . . . . . . . . "16842"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "V\u00E9nalit\u00E9 des offices en France"@fr . . . . . . . . . . .