. . . . . . . . . . . . "\u0422\u0406\u0413\u0420"@uk . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Trieste, Istrie, Gorizia et Rijeka"@fr . . . . . "186137376"^^ . . . . . "Le groupe Trieste, Istrie, Gorizia et Rijeka/Fiume (en slov\u00E8ne Trst, Istra, Gorica, Rijeka/ Reka) est une organisation arm\u00E9e clandestine, regroupant des Slov\u00E8nes de la r\u00E9gion de Primorje et des Croates d'Istrie et de Fiume (Rijeka). Le TIGR avait son si\u00E8ge en Slov\u00E9nie de 1927 \u00E0 1941, et op\u00E9rait de fa\u00E7on clandestine, contre les Italiens dans les territoires qui leur sont allou\u00E9s, apr\u00E8s la Premi\u00E8re Guerre mondiale, et qui la soumettent \u00E0 une politique d\u2019italianisation forc\u00E9e :"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "TIGR"@de . "Le groupe Trieste, Istrie, Gorizia et Rijeka/Fiume (en slov\u00E8ne Trst, Istra, Gorica, Rijeka/ Reka) est une organisation arm\u00E9e clandestine, regroupant des Slov\u00E8nes de la r\u00E9gion de Primorje et des Croates d'Istrie et de Fiume (Rijeka). Le TIGR avait son si\u00E8ge en Slov\u00E9nie de 1927 \u00E0 1941, et op\u00E9rait de fa\u00E7on clandestine, contre les Italiens dans les territoires qui leur sont allou\u00E9s, apr\u00E8s la Premi\u00E8re Guerre mondiale, et qui la soumettent \u00E0 une politique d\u2019italianisation forc\u00E9e : \n* 1927 : obligation de porter un nom italien pour les Slaves (les noms slaves des pierres tombales sont \u00E9galement italianis\u00E9s) ; \n* les associations culturelles et sportives slaves sont interdites ; \n* les salles de lecture croates (une centaine) sont ferm\u00E9es. Le terme \u00AB occupation \u00BB renvoie aux conditions du trait\u00E9 de Rapallo sign\u00E9 entre l'Italie et le Royaume de Yougoslavie le 12 novembre 1920 dans la ville \u00E9ponyme. Outre un accord de coop\u00E9ration entre les deux pays, il fixa les fronti\u00E8res entre les deux \u00C9tats, la Dalmatie devenant yougoslave \u2014 \u00E0 l'exception de Zadar (Zara) devenue italienne \u2014 , l'Istrie italienne. En 1930, la d\u00E9mant\u00E8le plusieurs cellules du TIGR, et arr\u00EAte quatre membres (Ferdo Bidovec, Fran Maru\u0161i\u010D, Zvonimir Milo\u0161 et Alojzij Valen\u010Di\u010D) qui sont condamn\u00E9s \u00E0 mort pour homicide et ex\u00E9cut\u00E9s \u00E0 (Bazovica). En 1938, un complot qui n\u2019aboutit pas vise \u00E0 assassiner Mussolini, lors de sa visite de Kobarid (Caporetto). En 1941, neuf membres du TIGR sont condamn\u00E9s pour espionnage en temps de guerre et terrorisme, cinq sont ex\u00E9cut\u00E9s (Pinko Toma\u017Ei\u010D, Viktor Bobek, Ivan Ivan\u010Di\u010D, Simon Kos et Ivan Vadnal) \u00E0 Villa Opicina (Op\u010Dine). Plusieurs membres sont en contact avec les Yougoslaves et les services secrets britanniques ; plusieurs d\u2019entre eux ont \u00E9galement un entra\u00EEnement militaire. Le groupe TIGR n\u2019est pas invit\u00E9 \u00E0 rejoindre l\u2019OF (Front de lib\u00E9ration) de Slov\u00E9nie en 1941, mais de nombreux membres du TIGR rejoignent les brigades de partisans apr\u00E8s la capitulation de l\u2019Italie, en 1943, principalement les brigades d\u2019outre-mer (Prekomorske brigade). Lorsque le TIGR arr\u00EAte ses propres op\u00E9rations, le Parti communiste de Slov\u00E9nie surveille de pr\u00E8s les actions de ses anciens membres. En 1997, lors du 50e anniversaire du rattachement de Primorje \u00E0 la Slov\u00E9nie, le TIGR re\u00E7oit du pr\u00E9sident de Slov\u00E9nie Milan Ku\u010Dan la m\u00E9daille d'honneur de la libert\u00E9 de Slov\u00E9nie d'or (Zlati \u010Dastni znak svobode republike Slovenije)."@fr . . "786209"^^ . . . . . . "3373"^^ . .