"\u00FE"@fr . . . . . "5798"^^ . . "Thurisaz"@fr . "\u00DEurs"@fr . "\u00DEurisaz (\u00E9galement transcrit Thurisaz) est la troisi\u00E8me rune du Futhark et de la famille de Fehu / Fraujaz / Freyr. Elle est pr\u00E9c\u00E9d\u00E9e de \u016Aruz et suivie de Ansuz. Elle est nomm\u00E9e \u00DEorn (Thorn) en anglo-saxon et \u00DEurs (Thurs) en vieux norrois. *\u00DEurisaz en est la forme proto-germanique, reconstitu\u00E9e d'apr\u00E8s le nom norrois, le vieux saxon thuris et le vieux haut-allemand duris-es (\u00AB (du) g\u00E9ant \u00BB). Dans la mythologie finnoise, Tursas, monstre marin mal\u00E9fique, \u00E9tait un \u00EAtre mal d\u00E9fini ; or \u00E0 l\u2019\u00E9poque, la Finlande \u00E9tait consid\u00E9r\u00E9e comme la terre des j\u00F6tnar dans la mythologie nordique. Par extension, il fut associ\u00E9 au dieu tueur de g\u00E9ants Thor / Donar et \u00E0 son marteau Mj\u00F6llnir. Dans une moindre mesure, son caract\u00E8re destructeur l\u2019a \u00E9galement associ\u00E9 au dieu mauvais Loki, d\u2019ascendance g\u00E9ante. Il faut toutefois noter que le nom \u00DE\u014Drr (Thor) n\u2019a aucun lien \u00E9tymologique avec le mot d\u00E9signant les g\u00E9ants, \u00FEurs : il est plut\u00F4t li\u00E9 \u00E0 \u00DEunor (tonnerre). Dans l\u2019Angleterre anglo-saxonne, la rune \u00E9tait appel\u00E9e Thorn (\u00DEorn, \u00D0orn), qui subsiste aujourd\u2019hui sous la forme de la lettre islandaise \u00DE. Thorn (\u00E9pine) n\u2019\u00E9tant pas reli\u00E9 \u00E9tymologiquement \u00E0 Thurs, une relation artificielle a \u00E9t\u00E9 cr\u00E9\u00E9e entre ces deux mots en faisant passer le premier pour un kenning du second, via le po\u00E8me runique anglo-saxon. Le Codex Vindobonensis 795 donne un nom de lettre correspondant dans l'alphabet gotique sous la forme thyth (\U00010338), restitu\u00E9 en gotique comme \u00FEiu\u00FE \u00AB bon \u00BB (bien que \u00FE n\u2019ait jamais \u00E9t\u00E9 utilis\u00E9 en gotique). Cette rune notait \u00E0 l'origine le son [\u03B8]. Comme ce son, typique des langues germaniques anciennes, ne poss\u00E9dait pas de signe dans l'alphabet latin, la rune y fut emprunt\u00E9e comme lettre suppl\u00E9mentaire sous le nom de thorn, d'abord pour \u00E9crire le vieil anglais (d'o\u00F9 le nom), puis le vieux norrois. Elle est toujours utilis\u00E9e dans l'orthographe de l'islandais."@fr . . . . . . . . "\u00FE, \u00F0"@fr . "\u00FE, \u00F0"@fr . . ","@fr . "\u00E9pine"@fr . "\u16A6"@fr . . ","@fr . "*\u00DEurisaz"@fr . . . . . . "U+16A6"@fr . . . . . "Thurisaz"@de . . . "Thurisaz"@fr . . "\u00FE"@fr . . "175117676"^^ . . . . . . . "\u00DEurisaz (\u00E9galement transcrit Thurisaz) est la troisi\u00E8me rune du Futhark et de la famille de Fehu / Fraujaz / Freyr. Elle est pr\u00E9c\u00E9d\u00E9e de \u016Aruz et suivie de Ansuz. Elle est nomm\u00E9e \u00DEorn (Thorn) en anglo-saxon et \u00DEurs (Thurs) en vieux norrois. *\u00DEurisaz en est la forme proto-germanique, reconstitu\u00E9e d'apr\u00E8s le nom norrois, le vieux saxon thuris et le vieux haut-allemand duris-es (\u00AB (du) g\u00E9ant \u00BB). Le Codex Vindobonensis 795 donne un nom de lettre correspondant dans l'alphabet gotique sous la forme thyth (\U00010338), restitu\u00E9 en gotique comme \u00FEiu\u00FE \u00AB bon \u00BB (bien que \u00FE n\u2019ait jamais \u00E9t\u00E9 utilis\u00E9 en gotique)."@fr . . . "\u00DEorn"@fr . . "4398"^^ . . . . . . . . . . "Thurs"@es . . . . . . . . . "Thurisaz (rune)"@nl . "30"^^ . "3"^^ . . . . . . . . . "1169136"^^ . . . . "\u16A6"@ja . . . .