. "fr"@fr . . . . . . . . . "2"^^ . "Une table d'ombre est un tableau qui donne approximativement la longueur de l'ombre d'un \u00AB gnomon \u00BB en fonction d'un \u00AB mois \u00BB de l'ann\u00E9e et de l'\u00AB heure \u00BB du jour. De diff\u00E9rentes factures, ces tables qui donnent grossi\u00E8rement l'heure ont leur origine et leur premier usage dans l'Antiquit\u00E9. On les retrouvera plus tard, dans le haut Moyen \u00C2ge, dans les communaut\u00E9s religieuses chr\u00E9tiennes ; elles serviront alors momentan\u00E9ment d'indicateur temps dans la mise en application suppos\u00E9e des r\u00E8gles monastiques. Plus tard elles seront remplac\u00E9es par des instruments plus pratiques tels les cadrans canoniaux suivis chronologiquement par les horloges hydrauliques puis m\u00E9caniques."@fr . "189055488"^^ . "Jean-Baptiste Delambre"@fr . . "19413"^^ . . . "521"^^ . "2015"^^ . "Belin, pour la science"@fr . "I"@fr . "444"^^ . . . "295"^^ . "2007"^^ . "2003"^^ . "Les cadrans solaires"@fr . . . . . . "Une table d'ombre est un tableau qui donne approximativement la longueur de l'ombre d'un \u00AB gnomon \u00BB en fonction d'un \u00AB mois \u00BB de l'ann\u00E9e et de l'\u00AB heure \u00BB du jour. De diff\u00E9rentes factures, ces tables qui donnent grossi\u00E8rement l'heure ont leur origine et leur premier usage dans l'Antiquit\u00E9. On les retrouvera plus tard, dans le haut Moyen \u00C2ge, dans les communaut\u00E9s religieuses chr\u00E9tiennes ; elles serviront alors momentan\u00E9ment d'indicateur temps dans la mise en application suppos\u00E9e des r\u00E8gles monastiques."@fr . . "Coursier"@fr . "10915062"^^ . "N"@fr . . . . . . "J\u00E9r\u00F4me Bonnin"@fr . "Paris"@fr . "La mesure du temps dans l'Antiquit\u00E9"@fr . . . "127"^^ . . . . . "321"^^ . . . . . . . . . . . . . . "Denis Savoie"@fr . . . . . . . . . . . . . "1817"^^ . . . . "Table d'ombre"@fr . . . "978"^^ . . . "2"^^ . "Chap. XXI Cadrans solaires d'heures temporaires"@fr . . . . . . "Histoire de l'Astronomie ancienne"@fr . . "La gnomonique"@fr . . . . .