. . . . . . . "Kapturnica (ro\u015Blina)"@pl . . . . . . . . . . "Sarracenia"@vi . "Schlauchpflanzen"@de . . . . "Sarracenia"@ca . "186397585"^^ . . . "\u0421\u0430\u0440\u0440\u0430\u0446\u0435\u043D\u0438\u044F"@ru . . . . . . "Sarracenia"@en . . . . "Sarrac\u00E9nie"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "84445"^^ . . . . . . . . . . . . . . . "Sarracenia Sarracenia Sarracenia leucophylla Genre SarraceniaL., 1753 Classification phylog\u00E9n\u00E9tique R\u00E9partition g\u00E9ographique Les Sarrac\u00E9nies ou Sarrac\u00E8nes (le genre Sarracenia) sont des plantes originaires du sud-est des \u00C9tats-Unis et du Canada, de la famille des Sarrac\u00E9niac\u00E9es. Ce sont des \u00AB carnivores \u00E0 pi\u00E8ges passifs \u00BB (sans mouvement m\u00E9canique). Ces pi\u00E8ges sont des feuilles modifi\u00E9es en forme d'urne et prot\u00E9g\u00E9es par une coiffe, sauf chez Sarracenia psittacina chez qui elle a disparu par soudure de ses bords. Le nom de la plante fait r\u00E9f\u00E9rence \u00E0 Michel Sarrazin, chirurgien, m\u00E9decin et naturaliste en Nouvelle-France."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Sarracenia"@war . "8588"^^ . . . . . . . . . . "Sarracenia"@eu . . . . "Sarracenia Sarracenia Sarracenia leucophylla Genre SarraceniaL., 1753 Classification phylog\u00E9n\u00E9tique R\u00E9partition g\u00E9ographique Les Sarrac\u00E9nies ou Sarrac\u00E8nes (le genre Sarracenia) sont des plantes originaires du sud-est des \u00C9tats-Unis et du Canada, de la famille des Sarrac\u00E9niac\u00E9es. Ce sont des \u00AB carnivores \u00E0 pi\u00E8ges passifs \u00BB (sans mouvement m\u00E9canique). Ces pi\u00E8ges sont des feuilles modifi\u00E9es en forme d'urne et prot\u00E9g\u00E9es par une coiffe, sauf chez Sarracenia psittacina chez qui elle a disparu par soudure de ses bords. Le nom de la plante fait r\u00E9f\u00E9rence \u00E0 Michel Sarrazin, chirurgien, m\u00E9decin et naturaliste en Nouvelle-France. Le jardin botanique du mus\u00E9um d'histoire naturelle de Nantes a d\u00E9couvert en 2015 que des sp\u00E9cimens pr\u00E9sents avaient captur\u00E9 des frelons asiatiques ; des chercheurs vont \u00E9tudier la mol\u00E9cule odorante qui attirerait ces frelons afin d'en produire un pi\u00E8ge."@fr . . . . . . . . .