. . . "162121551"^^ . . . "8395151"^^ . . . . "S\u00E9lection fr\u00E9quence-d\u00E9pendante"@fr . "\u983B\u5EA6\u4F9D\u5B58\u9078\u629E"@ja . . . "La s\u00E9lection fr\u00E9quence-d\u00E9pendante est un m\u00E9canisme de s\u00E9lection des individus par rapport \u00E0 la fr\u00E9quence de leur g\u00E9nome dans une population polymorphique. Plusieurs all\u00E8les d'un m\u00EAme g\u00E8ne peuvent impliquer des ph\u00E9notypes diff\u00E9rents, aussi bien au niveau purement morphologique que comportemental. Ce qui importe ici est le gain en valeur s\u00E9lective qui va d\u00E9pendre de la fr\u00E9quence des autres ph\u00E9notypes : un individu avec un ph\u00E9notype consid\u00E9r\u00E9 comme \"rare\" par rapport aux autres individus pourra gagner en survie ou reproduction gr\u00E2ce \u00E0 cette raret\u00E9 : on parle alors de s\u00E9lection fr\u00E9quence-d\u00E9pendante n\u00E9gative. C'est-\u00E0-dire qu'un individu sera favoris\u00E9 et aura un gain plus important en fitness si son ph\u00E9notype est moins fr\u00E9quent que les autres individus de la population. C'est une des pressions de s\u00E9lection les plus fortes connues \u00E0 ce jour, cependant les exemples dans la nature sont assez rares, tout du moins difficilement observables directement. On peut d\u00E9finir la s\u00E9lection fr\u00E9quence-d\u00E9pendante n\u00E9gative de la fa\u00E7on suivante : plus un all\u00E8le est r\u00E9pandu dans une population, plus la fitness associ\u00E9e \u00E0 ce ph\u00E9notype diminue. Cette s\u00E9lection s'applique aussi bien sur des crit\u00E8res morphologiques comme la couleur du corps, mais \u00E9galement sur le comportement. Des \u00E9tudes men\u00E9es sur des Drosophiles par Mark J. Fitzpatrick et al. (Maintaining a behaviour polymorphism by frequency-dependent selection on a single gene) ont permis de mettre en \u00E9vidence une s\u00E9lection fr\u00E9quence-d\u00E9pendante n\u00E9gative sur le comportement des larves de drosophile lorsque le milieu est pauvre en nourriture. Des drosophiles avec un comportement \"rare\" par rapport aux autres avaient une meilleure survie jusqu'au stade adulte. Cette diff\u00E9rence n'\u00E9tait pas observable dans des milieux riches en nourriture. Cette \u00E9tude a aussi mis en exergue le fait que la s\u00E9lection fr\u00E9quence-d\u00E9pendante n\u00E9gative peut agir sur un seul g\u00E8ne, et qu'elle est parfois d\u00E9pendante des conditions environnementales."@fr . . . . . . . . . . . . "La s\u00E9lection fr\u00E9quence-d\u00E9pendante est un m\u00E9canisme de s\u00E9lection des individus par rapport \u00E0 la fr\u00E9quence de leur g\u00E9nome dans une population polymorphique. Plusieurs all\u00E8les d'un m\u00EAme g\u00E8ne peuvent impliquer des ph\u00E9notypes diff\u00E9rents, aussi bien au niveau purement morphologique que comportemental. Ce qui importe ici est le gain en valeur s\u00E9lective qui va d\u00E9pendre de la fr\u00E9quence des autres ph\u00E9notypes : un individu avec un ph\u00E9notype consid\u00E9r\u00E9 comme \"rare\" par rapport aux autres individus pourra gagner en survie ou reproduction gr\u00E2ce \u00E0 cette raret\u00E9 : on parle alors de s\u00E9lection fr\u00E9quence-d\u00E9pendante n\u00E9gative. C'est-\u00E0-dire qu'un individu sera favoris\u00E9 et aura un gain plus important en fitness si son ph\u00E9notype est moins fr\u00E9quent que les autres individus de la population. C'est une des pressions d"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "Selecci\u00F3n seg\u00FAn la frecuencia"@es . . . . . . . . "7131"^^ . . . . . .