. . . . . . . . "Recrutement group\u00E9 de nouveaux dipl\u00F4m\u00E9s"@fr . . . "184640696"^^ . . "Le recrutement group\u00E9 de nouveaux dipl\u00F4m\u00E9s (\u65B0\u5352\u4E00\u62EC\u63A1\u7528, shinsotsu ikkatsu saiy\u014D) est la coutume prise par les entreprises japonaises d'embaucher chaque ann\u00E9e en une fois les futurs ou nouveaux dipl\u00F4m\u00E9s. N\u00E9e au Japon durant l'\u00E8re Meiji pour recruter les nouveaux \u00AB cols blancs \u00BB ou salaryman, elle s'est fortement r\u00E9pandue et g\u00E9n\u00E9ralis\u00E9e apr\u00E8s la Seconde Guerre mondiale aupr\u00E8s des grandes entreprises japonaises face \u00E0 l'importante demande de main-d'\u0153uvre durant le miracle \u00E9conomique japonais."@fr . . . "Simultaneous recruiting of new graduates"@en . . . . . . . . . "4543"^^ . . . . . . . . . . . . . . . "4280143"^^ . . . . . . . . . . . "Le recrutement group\u00E9 de nouveaux dipl\u00F4m\u00E9s (\u65B0\u5352\u4E00\u62EC\u63A1\u7528, shinsotsu ikkatsu saiy\u014D) est la coutume prise par les entreprises japonaises d'embaucher chaque ann\u00E9e en une fois les futurs ou nouveaux dipl\u00F4m\u00E9s. N\u00E9e au Japon durant l'\u00E8re Meiji pour recruter les nouveaux \u00AB cols blancs \u00BB ou salaryman, elle s'est fortement r\u00E9pandue et g\u00E9n\u00E9ralis\u00E9e apr\u00E8s la Seconde Guerre mondiale aupr\u00E8s des grandes entreprises japonaises face \u00E0 l'importante demande de main-d'\u0153uvre durant le miracle \u00E9conomique japonais. La d\u00E9cennie perdue qui a suivi l'\u00E9clatement de la bulle sp\u00E9culative japonaise en 1990, et les r\u00E9formes entreprises dans les ann\u00E9es 2000 ont abouti \u00E0 une remise en question de cette coutume li\u00E9e au mod\u00E8le social japonais, reposant sur l'harmonie industrielle et la politique d'emploi \u00E0 vie avec avancement \u00E0 l'\u00E2ge. En effet, depuis 2002 l'emploi \u00E0 temps plein s'est r\u00E9tract\u00E9 (de 4 millions en 10 ans) au profit du temps partiel et des freeters (qui ont augment\u00E9 sur 10 ans \u00E9galement de 6,5 millions). Les embauches de ce type sont ainsi moins nombreuses que par le pass\u00E9, et les jeunes dipl\u00F4m\u00E9s qui ne trouvent pas d'emploi par ce biais peuvent se retrouver en grande difficult\u00E9 en devenant des NEET. En mai 2010, selon le minist\u00E8re japonais de l'\u00C9ducation, de la Culture, des Sports, des Sciences et de la Technologie, 106 397 nouveaux dipl\u00F4m\u00E9s de l'universit\u00E9 sur 541 000, soit 20 %, \u00E9taient sans emploi, un creux d\u00FB \u00E0 la crise internationale de 2008-2009. N\u00E9anmoins, le 1er avril 2012, 94 % des nouveaux dipl\u00F4m\u00E9s venant de quitter l'universit\u00E9 fin mars \u00E9taient salari\u00E9s. Selon un sondage du site Mynavi (\u30DE\u30A4\u30CA\u30D3, Mainabi), en avril 2012, 33,5 % des \u00E9tudiants qui finiront leur cursus en mars 2013 savent d\u00E9j\u00E0 quelle soci\u00E9t\u00E9 les emploiera \u00E0 la sortie. Selon une \u00E9tude du minist\u00E8re, au 1er octobre 2012, 63 % des \u00E9tudiants qui finiront leur cursus en mars 2013 avaient une promesse d'embauche. Le 1er avril 2015, 580 000 jeunes dipl\u00F4m\u00E9s, soit 95 % des \u00E9tudiants venant de terminer leurs \u00E9tudes universitaires, avaient d\u00E9croch\u00E9 un travail."@fr . . . . . . . .