. . . . . . . . "Pierre Leclerc Du Vivier"@fr . . "Pierre Leclerc Du Vivier (vers 1530 \u00E0 Nancy en France[r\u00E9f. n\u00E9cessaire] - 1598) est conseiller et surintendant des finances du cardinal Charles de Lorraine (1567-1607) et du duc Philippe-Emmanuel de Lorraine (1558-1602). Il est aussi conseiller du roi de France, tr\u00E9sorier g\u00E9n\u00E9ral de Bretagne, et \u00E0 la fin de vie il est pourvu de l'office de g\u00E9n\u00E9ral des finances, avec la connaissance et administration des finances.[r\u00E9f. n\u00E9cessaire]"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "11743"^^ . . . . . . . . . . . . . . . "Pierre Leclerc du Vivier"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Famille Le Clerc"@fr . "188076588"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . "Sa famille : Nobiliaire de Normandie. 1863."@fr . . "3096529"^^ . . . "Pierre Leclerc Du Vivier (vers 1530 \u00E0 Nancy en France[r\u00E9f. n\u00E9cessaire] - 1598) est conseiller et surintendant des finances du cardinal Charles de Lorraine (1567-1607) et du duc Philippe-Emmanuel de Lorraine (1558-1602). Il est aussi conseiller du roi de France, tr\u00E9sorier g\u00E9n\u00E9ral de Bretagne, et \u00E0 la fin de vie il est pourvu de l'office de g\u00E9n\u00E9ral des finances, avec la connaissance et administration des finances.[r\u00E9f. n\u00E9cessaire] Il est sieur du Vivier-en-France, m\u00EAme s\u2019il est toujours possessionn\u00E9 en Lorraine et dans le Barrois. S\u2019il est bourgeois de Paris et demeure la plupart du temps rue de Braque, il habite le reste de l\u2019ann\u00E9e \u00E0 Nancy et \u00E0 Saint-Nicolas-de-Port. Car il est, comme la plupart des membres de la famille Le Clerc, selon le dossier bleu 191 qui leur est consacr\u00E9 en partie, cr\u00E9ancier des ducs de Lorraine . Toutefois des lettres du duc Charles III de Lorraine d\u00E9montrent qu\u2019il n\u2019est pas qu\u2019un des nombreux bourgeois et nobles qui lui pr\u00EAtent de l'argent. Il est son banquier et le duc nous \u00E9claire sur leurs relations en \u00E9crivant : Faictes-nous doncques ce service. Le dit service est important, il s\u2019agit de payer \u00E0 temps et \u00E0 Florence 52 000 \u00E9cus pistolets pour la dot de Christine de Lorraine, sa fille. Apr\u00E8s sa mort, sa femme Anne F\u00E9riet de Varang\u00E9ville est cr\u00E9anci\u00E8re des ducs. Mais, peut-\u00EAtre lass\u00E9e des impay\u00E9s et attir\u00E9e par la France, elle ach\u00E8te plusieurs fiefs dans le Pays de France et marie ses quatre filles \u00E0 des nobles de robe parisiens.[r\u00E9f. n\u00E9cessaire]"@fr . . . . . . . . .