"Lentengre"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "Seghers \u00AB\u00A0Po\u00E8tes d'Aujourd'hui\u00A0\u00BB"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "Pierre Albert-Birot, n\u00E9 le 22 avril 1876 \u00E0 Angoul\u00EAme et mort le 25 juillet 1967 \u00E0 Paris, est un po\u00E8te, sculpteur, peintre, typographe et homme de th\u00E9\u00E2tre fran\u00E7ais. Avant-gardiste inv\u00E9t\u00E9r\u00E9 pendant la Premi\u00E8re Guerre mondiale, \u00E0 travers la revue Sic (1916-1919) dont il est le fondateur et directeur, il s\u2019est fait le d\u00E9fenseur du futurisme et du cubisme. Les dada\u00EFstes le consid\u00E9reront comme l\u2019un des leurs, sans que lui-m\u00EAme y souscrive jamais. Il se d\u00E9clare fondateur de l\u2019\u00E9cole \u00AB nunique \u00BB (de l\u2019adverbe grec \u03BD\u1FE6\u03BD / nun, maintenant), \u00E9cole dont il est le seul ma\u00EEtre, sans disciples. Se tenant apr\u00E8s la guerre \u00E0 l\u2019\u00E9cart des surr\u00E9alistes auxquels il a pourtant, avec Guillaume Apollinaire, donn\u00E9 leur nom, il a construit une \u0153uvre solipsiste et touche \u00E0 tout, imprimant ses livres chez lui, cultivant la joie enfantine de la cr\u00E9ation artistique, ainsi qu\u2019il l\u2019\u00E9crit lui-m\u00EAme : \u00AB Je trouve ma joie dans la cr\u00E9ation po\u00E9tique et je trouve ma joie dans les cr\u00E9ations de mes mains. [\u2026] Tout cela, c\u2019est du jeu, j\u2019aime jouer, j\u2019entretiens le gosse. \u00BB S\u2019il a \u00E9t\u00E9 moqu\u00E9 par les surr\u00E9alistes pour ses pr\u00E9tentions \u00E0 s\u2019illustrer dans de trop nombreux arts, d\u00E9cri\u00E9 par Philippe Soupault comme un extravagant sans r\u00E9el talent po\u00E9tique, il s\u2019est attir\u00E9 les \u00E9loges et les amiti\u00E9s de Max Jacob et d\u2019Apollinaire. Plus tard, Gaston Bachelard louera la profondeur de ses vues philosophiques, et il marquera de son influence des po\u00E8tes divers, tels Jean Follain, Pascal Pia, et jusqu'aujourd\u2019hui Val\u00E9rie Rouzeau."@fr . . . . "Renouard"@fr . . . . . . . . . "Pierre Albert-Birot, laboratoire de modernit\u00E9"@fr . . . "JM Place"@fr . "Follain"@fr . "189737285"^^ . . "298516"^^ . . . . . . . . . . . . . "2"^^ . . . . . . . . . . . "1967"^^ . . . "Jean Follain"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Pierre Albert-Birot"@fr . . . . . . . . . . "Pierre Albert-Birot"@de . . . . . . . . . . . . . . . . . "Madeleine"@fr . . . . "N"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "PAB Signature.png" . "48017"^^ . . . . "Marie-Louise"@fr . . . . "oui"@fr . "Pierre Albert-Birot, n\u00E9 le 22 avril 1876 \u00E0 Angoul\u00EAme et mort le 25 juillet 1967 \u00E0 Paris, est un po\u00E8te, sculpteur, peintre, typographe et homme de th\u00E9\u00E2tre fran\u00E7ais. Avant-gardiste inv\u00E9t\u00E9r\u00E9 pendant la Premi\u00E8re Guerre mondiale, \u00E0 travers la revue Sic (1916-1919) dont il est le fondateur et directeur, il s\u2019est fait le d\u00E9fenseur du futurisme et du cubisme. Les dada\u00EFstes le consid\u00E9reront comme l\u2019un des leurs, sans que lui-m\u00EAme y souscrive jamais. Il se d\u00E9clare fondateur de l\u2019\u00E9cole \u00AB nunique \u00BB (de l\u2019adverbe grec \u03BD\u1FE6\u03BD / nun, maintenant), \u00E9cole dont il est le seul ma\u00EEtre, sans disciples. Se tenant apr\u00E8s la guerre \u00E0 l\u2019\u00E9cart des surr\u00E9alistes auxquels il a pourtant, avec Guillaume Apollinaire, donn\u00E9 leur nom, il a construit une \u0153uvre solipsiste et touche \u00E0 tout, imprimant ses livres chez lui, cultivant"@fr . . . . . . "1997"^^ . . . "1993"^^ . . "Paris"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Lentengre"@fr . . . . . . . . . . . . . "Pierre Albert-Birot"@fr . . . . . . . . . . . . . . "Renouard"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Follain"@fr . . . "Pierre Albert-Birot"@en . . "Pierre Albert-Birot, L'invention de soi"@fr . . . . . . . . . . . . . "Jean"@fr . . . . . .