. . . . . . . . . . . . . . . . . "L\u2019ozone troposph\u00E9rique parfois qualifi\u00E9 de mauvais ozone est l'ozone (O3) form\u00E9 dans la basse atmosph\u00E8re (troposph\u00E8re). C'est un gaz \u00E0 effet de serre (for\u00E7age radiatif moyen estim\u00E9 \u00E0 +0,35 (+/- 0.15) W/m2 et un polluant majeur dont la concentration dans la troposph\u00E8re a selon le GIEC (2001) doubl\u00E9, voire tripl\u00E9, au cours du XXe si\u00E8cle. Son taux varie consid\u00E9rablement dans le temps et l'espace ; de 10 ppb au-dessus des oc\u00E9ans tropicaux \u00E0 plus de 100 ppb dans les couches hautes de la troposph\u00E8re, au contact de la stratosph\u00E8re et au-dessus des zones urbaines tr\u00E8s pollu\u00E9es. Il est dit secondaire car issu de pr\u00E9curseurs (oxydes d'azote et compos\u00E9s organiques volatils principalement \u00E9mis par les activit\u00E9s humaines et la flore), sous l'effet des UV solaires. Les pics d\u2019ozone apparaissent donc quand l\u2019ensoleillement est important, et en conditions anticyclonique (condition peu dispersives favorisant l\u2019accumulation des pr\u00E9curseurs), l'\u00E9pisode s'aggravant si l'anticyclone persiste.L\u2019ozone perdurant quelques jours dans la troposph\u00E8re, il peut migrer vers les r\u00E9gions p\u00E9riurbaines et rurales situ\u00E9es sous le vent des agglom\u00E9rations. Ce superoxydant affecte la sant\u00E9 humaine. Il irrite les yeux et les poumons, et affecte la capacit\u00E9 respiratoire. D\u2019autres polluants tels les oxydes de soufre et d\u2019azote aggravent ses effets, ainsi que l'efforts physiques et une exposition prolong\u00E9e. Il affecte aussi les \u00E9cosyst\u00E8mes et diminue les rendements agricoles et sylvicoles.En d\u00E9gradant certains mat\u00E9riaux de construction et de d\u00E9coration, il peut dans l'air int\u00E9rieur \u00EAtre aussi source de polluants secondaires. Ces effets sont \u00E0 opposer \u00E0 ceux, protecteurs, de l\u2019ozone stratosph\u00E9rique (\u00AB bon ozone \u00BB), pr\u00E9sent \u00E0 plus de 10 km d\u2019altitude, qui filtre une partie nocive des ultra-violets solaires. Dans les zones tr\u00E8s pollu\u00E9es, et sous certaines conditions d\u2019insolation, de hautes concentrations de NOx peuvent la nuit d\u00E9truire une partie de l'ozone (effet de titration)."@fr . . . "L\u2019ozone troposph\u00E9rique parfois qualifi\u00E9 de mauvais ozone est l'ozone (O3) form\u00E9 dans la basse atmosph\u00E8re (troposph\u00E8re). C'est un gaz \u00E0 effet de serre (for\u00E7age radiatif moyen estim\u00E9 \u00E0 +0,35 (+/- 0.15) W/m2 et un polluant majeur dont la concentration dans la troposph\u00E8re a selon le GIEC (2001) doubl\u00E9, voire tripl\u00E9, au cours du XXe si\u00E8cle. Son taux varie consid\u00E9rablement dans le temps et l'espace ; de 10 ppb au-dessus des oc\u00E9ans tropicaux \u00E0 plus de 100 ppb dans les couches hautes de la troposph\u00E8re, au contact de la stratosph\u00E8re et au-dessus des zones urbaines tr\u00E8s pollu\u00E9es. Il est dit secondaire car issu de pr\u00E9curseurs (oxydes d'azote et compos\u00E9s organiques volatils principalement \u00E9mis par les activit\u00E9s humaines et la flore), sous l'effet des UV solaires. Les pics d\u2019ozone apparaissent donc qu"@fr . . . . . . "Markn\u00E4ra ozon"@sv . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Ozono troposferiko"@eu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "191367867"^^ . . . . . . . . "\u0623\u0648\u0632\u0648\u0646 \u0627\u0644\u062A\u0631\u0648\u0628\u0648\u0633\u0641\u064A\u0631"@ar . . . . . . . . . . . . . . . "Ozone troposph\u00E9rique"@fr . . . . . . . "Ozon troposferyczny"@pl . . . . . . . . . "41032"^^ . . . . . . "Ground level ozone"@en . . . . . . . . . . . . . . . . . "401775"^^ . . . . . .