. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "On appelle musique byzantine (en grec moderne : \u0392\u03C5\u03B6\u03B1\u03BD\u03C4\u03B9\u03BD\u03AE \u039C\u03BF\u03C5\u03C3\u03B9\u03BA\u03AE) la musique profane et religieuse compos\u00E9e dans le cadre de l\u2019Empire byzantin. Elle consistait en chants ou hymnes accompagnant des textes grecs utilis\u00E9s pour le c\u00E9r\u00E9monial de la cour, lors de festivals ou \u00E0 l\u2019occasion de c\u00E9r\u00E9monies religieuses. Cette derni\u00E8re forme est la mieux connue de nos jours, car les diff\u00E9rentes traditions orthodoxes contemporaines continuent \u00E0 s\u2019identifier avec leur h\u00E9ritage byzantin, utilisant encore des livres de chants traditionnels comme les stich\u00E8res, r\u00E9unis dans le sticharion, et le irmologion. En effet, la musique byzantine ne disparut pas avec la chute de Constantinople en 1453, mais se perp\u00E9tua sous l\u2019administration ottomane. Au cours de la p\u00E9riode de d\u00E9clin de l\u2019Empire ottoman au XIXe si\u00E8cle, les \u00E9glises des diverses nations \u00E9mergentes des Balkans se proclam\u00E8rent \u00AB autoc\u00E9phales \u00BB, c\u2019est-\u00E0-dire ne relevant plus du patriarcat \u0153cum\u00E9nique. Dans ce contexte, les chants religieux utilis\u00E9s dans ce qui \u00E9tait devenu l\u2019Empire ottoman, la Bulgarie et la Gr\u00E8ce plongeaient leurs racines dans la tradition byzantine, alors que celle qui se d\u00E9veloppa au sein du patriarcat pendant la p\u00E9riode ottomane fut souvent consid\u00E9r\u00E9e comme \u00AB post-byzantine \u00BB. C\u2019est pourquoi ce que l\u2019on appelle musique byzantine de nos jours se r\u00E9f\u00E8re aux traditions musicales religieuses de diff\u00E9rents peuples de la M\u00E9diterran\u00E9e et du Caucase sans se limiter \u00E0 ce qu\u2019elle fut au temps de l\u2019Empire byzantin. Le 11 d\u00E9cembre 2019, le chant byzantin, ou art psaltique, est inscrit au patrimoine immat\u00E9riel de l'Unesco."@fr . . . . "On appelle musique byzantine (en grec moderne : \u0392\u03C5\u03B6\u03B1\u03BD\u03C4\u03B9\u03BD\u03AE \u039C\u03BF\u03C5\u03C3\u03B9\u03BA\u03AE) la musique profane et religieuse compos\u00E9e dans le cadre de l\u2019Empire byzantin. Elle consistait en chants ou hymnes accompagnant des textes grecs utilis\u00E9s pour le c\u00E9r\u00E9monial de la cour, lors de festivals ou \u00E0 l\u2019occasion de c\u00E9r\u00E9monies religieuses. Cette derni\u00E8re forme est la mieux connue de nos jours, car les diff\u00E9rentes traditions orthodoxes contemporaines continuent \u00E0 s\u2019identifier avec leur h\u00E9ritage byzantin, utilisant encore des livres de chants traditionnels comme les stich\u00E8res, r\u00E9unis dans le sticharion, et le irmologion. En effet, la musique byzantine ne disparut pas avec la chute de Constantinople en 1453, mais se perp\u00E9tua sous l\u2019administration ottomane. Au cours de la p\u00E9riode de d\u00E9clin de l\u2019Empire ottoman au XIXe si\u00E8cl"@fr . . . . . . . "\u0412\u0456\u0437\u0430\u043D\u0442\u0456\u0439\u0441\u044C\u043A\u0430 \u043C\u0443\u0437\u0438\u043A\u0430"@uk . "Musique byzantine"@fr . . . . . . . . . . . . . . "190467726"^^ . . . . "\u0412\u0438\u0437\u0430\u043D\u0442\u0438\u0439\u0441\u043A\u0430\u044F \u043C\u0443\u0437\u044B\u043A\u0430"@ru . "Byzantijnse muziek"@nl . . . "7452918"^^ . "M\u00FAsica bizantina"@pt . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "44459"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "M\u00FAsica bizantina"@es . . . . . . . .