. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u041C\u0430\u0441\u043E\u0440\u0430"@uk . . . . . . . . . . . "Masora"@de . . . . . . . . . . . . . "en"@fr . . . . . . . . . . . "La Massore ou Massorah (h\u00E9breu : \u05DE\u05E1\u05D5\u05E8\u05D4, cha\u00EEne ou tradition) est un proc\u00E9d\u00E9 technique, consistant en un syst\u00E8me de notes critiques sur la forme externe du texte biblique, visant \u00E0 sa pr\u00E9servation exacte, non seulement dans l'orthographe des mots, mais aussi dans sa vocalisation et son accentuation, tant pour sa lecture publique que pour son \u00E9tude priv\u00E9e. La version du texte reconnue comme faisant autorit\u00E9 au sein du juda\u00EFsme est appel\u00E9e le texte massor\u00E9tique. Elle est \u00E9galement largement utilis\u00E9e comme base pour la traduction de l'Ancien Testament des Bibles protestantes et, plus r\u00E9cemment, catholiques."@fr . . . . . . . . . . . . . "qer\u00E9 et ketib"@fr . . . . . "Qere and Ketiv"@fr . . "190656029"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "La Massore ou Massorah (h\u00E9breu : \u05DE\u05E1\u05D5\u05E8\u05D4, cha\u00EEne ou tradition) est un proc\u00E9d\u00E9 technique, consistant en un syst\u00E8me de notes critiques sur la forme externe du texte biblique, visant \u00E0 sa pr\u00E9servation exacte, non seulement dans l'orthographe des mots, mais aussi dans sa vocalisation et son accentuation, tant pour sa lecture publique que pour son \u00E9tude priv\u00E9e. La version du texte reconnue comme faisant autorit\u00E9 au sein du juda\u00EFsme est appel\u00E9e le texte massor\u00E9tique. Elle est \u00E9galement largement utilis\u00E9e comme base pour la traduction de l'Ancien Testament des Bibles protestantes et, plus r\u00E9cemment, catholiques. La massore est le produit d'un travail de fixation du texte ayant \u00E9t\u00E9 initi\u00E9 probablement avant la p\u00E9riode macchab\u00E9enne, par des sages juifs, les Soferim, principalement \u00E9voqu\u00E9s dans le Talmud. Ce travail aurait pu commencer avec Esdras. Elle est ensuite transmise dans ses moindres d\u00E9tails par d'autres sages, les Massor\u00E8tes, dont les diff\u00E9rentes \u00E9coles, poss\u00E9dant chacune son syst\u00E8me d'annotation particulier et sa version \u00AB standard \u00BB du texte massor\u00E9tique, ont \u0153uvr\u00E9 entre le VIIe si\u00E8cle et le Xe si\u00E8cle apr. J.-C. Apr\u00E8s la \u00AB canonisation \u00BB du texte selon l'\u00E9cole de Ben Asher, les diff\u00E9rentes versions sont compil\u00E9es et critiqu\u00E9es, menant \u00E0 l'aboutissement du processus aux alentours de 1425. Le texte massor\u00E9tique est traditionnellement consid\u00E9r\u00E9 comme une r\u00E9plique exacte de la Bible originelle. Cependant, il comporte des diff\u00E9rences, dont certaines significatives, avec d'autres versions ou traductions anciennes de la Bible, comme la Bible samaritaine, la Septante et les manuscrits de Qumr\u00E2n, lesquelles poss\u00E8dent des similitudes entre elles \u00E0 des endroits o\u00F9 elles divergent du texte massor\u00E9tique ; cela a conduit les milieux acad\u00E9miques \u00E0 consid\u00E9rer le texte massor\u00E9tique comme une variante parmi d'autres, impos\u00E9e comme norme apr\u00E8s la destruction du Second Temple de J\u00E9rusalem. Les plus vieux manuscrits connus contenant des extraits substantiels du texte massor\u00E9tique remontent approximativement au IXe si\u00E8cle apr. J-C, et le Codex d'Alep (peut-\u00EAtre la toute premi\u00E8re copie compl\u00E8te du texte massor\u00E9tique dans un manuscrit) date du Xe si\u00E8cle apr. J-C."@fr . . . . . . . "\u041C\u0430\u0441\u043E\u0440\u0430"@ru . . . . . . . . . . . "http://www.jewishencyclopedia.com/view.jsp?artid=246&letter=M|article2=Scribes|author2=I. Singer, M. Seligsohn, W. Bacher & J.D. Eisenstein"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "44364"^^ . . . . . "Masorah"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "730015"^^ . . . "Massorah"@fr . . . . . . . "Masora"@pl .