. . . . . "1889-10-28"^^ . . . . . . . "1885458"^^ . . "167782777"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "3472"^^ . . . . . . "Marcellin La Garde"@fr . . . . "Marcellin La Garde ou Lagarde, \u00E9crivain romantique belge de langue fran\u00E7aise, est n\u00E9 le 2 d\u00E9cembre 1818 \u00E0 Sougn\u00E9 (actuellement commune d'Aywaille, province de Li\u00E8ge, Belgique) et est mort \u00E0 Saint-Gilles (Bruxelles) le 28 octobre 1889. Apr\u00E8s des \u00E9tudes de droit, Marcellin Lagarde (qui par la suite \u00E9crira plus souvent son nom La Garde) commence \u00E0 Li\u00E8ge une carri\u00E8re litt\u00E9raire, qu'il fait d\u00E9buter avec des po\u00E9sies lamartiniennes. En 1843, nomm\u00E9 historiographe au Minist\u00E8re de l'Int\u00E9rieur et charg\u00E9 de travaux historiques pour le Gouvernement, il s'\u00E9tablit \u00E0 Bruxelles et publie, vers la fin des ann\u00E9es 1840, ses premiers ouvrages historiques, qu'il fera suivre par des ouvrages de vulgarisation, qu'il r\u00E9dige alors qu'il devient professeur \u00E0 Arlon. C'est l\u00E0 qu'il passe au roman historique avec Les derniers jours de Clairefontaine (1850), suivi par Le dernier Sire de Seymerich (1852). En 1858, La Garde publie chez Schn\u00E9e son premier recueil de contes, genre par lequel connait le succ\u00E8s, et qui le fera passer \u00E0 la post\u00E9rit\u00E9 : Le Val de l'Ambl\u00E8ve. Histoire et sc\u00E8nes ardennaises. Il r\u00E9cidivera en 1865 avec Histoire et sc\u00E8nes du Val de la Salm, des textes qui, comme les premiers avaient le plus souvent \u00E9t\u00E9 publi\u00E9s dans L'\u00E9mancipation. En 1870, il fonde l'hebdomadaire L'Illustration europ\u00E9enne, o\u00F9 il publie des romans m\u00E9lo-dramatiques, mais aussi de nouveaux contes, qui seront r\u00E9unis apr\u00E8s sa mort sous les titres de Les L\u00E9gendes de la Basse-Meuse ou Le Val de l'Ourthe. Histoires et l\u00E9gendes ardennaises. Nombre des histoires invent\u00E9es par La Garde, ou inspir\u00E9es de chroniqueurs ant\u00E9rieurs (car, contrairement \u00E0 ce qu'il d\u00E9clare, il n'a gu\u00E8re recueilli de tradition orale), ont maintenant repass\u00E9 dans le folklore ardennais. Le style de La Garde est souvent n\u00E9o-classique et parfois scolaire, et les clich\u00E9s abondent dans son \u0153uvre. Mais celle-ci vaut par son ton direct, son imagination et son didactisme sans lourdeur. En 2013, une nouvelle version des L\u00E9gendes de l'Ambl\u00E8ve a \u00E9t\u00E9 \u00E9crite par Bruno Bernard traduite en huit langues pour une mise en ligne sur supports t\u00E9l\u00E9chargeables. Les versions sont illustr\u00E9es et auditives sur le concept de StoriesBox cr\u00E9\u00E9 par Anne Van Espen."@fr . . . . . . . . . "Marcellin La Garde ou Lagarde, \u00E9crivain romantique belge de langue fran\u00E7aise, est n\u00E9 le 2 d\u00E9cembre 1818 \u00E0 Sougn\u00E9 (actuellement commune d'Aywaille, province de Li\u00E8ge, Belgique) et est mort \u00E0 Saint-Gilles (Bruxelles) le 28 octobre 1889. Nombre des histoires invent\u00E9es par La Garde, ou inspir\u00E9es de chroniqueurs ant\u00E9rieurs (car, contrairement \u00E0 ce qu'il d\u00E9clare, il n'a gu\u00E8re recueilli de tradition orale), ont maintenant repass\u00E9 dans le folklore ardennais."@fr . . . . . . .