. . . . . "2020833"^^ . . "M\u00E9moires de deux jeunes mari\u00E9es"@fr . "\u00C9tude de m\u0153urs"@fr . . . . . . . . . "179215383"^^ . . . "\u00C9tudes de m\u0153urs. Sc\u00E8nes de la vie priv\u00E9e"@fr . . "Charles Gosselin"@fr . . . . "M\u00E9moires de deux jeunes mari\u00E9es"@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Paris"@fr . "\u0412\u043E\u0441\u043F\u043E\u043C\u0438\u043D\u0430\u043D\u0438\u044F \u0434\u0432\u0443\u0445 \u044E\u043D\u044B\u0445 \u0436\u0451\u043D"@ru . . . . . . "La Com\u00E9die humaine"@fr . . . "1976"^^ . "0978-02-07"^^ . "1576"^^ . . . . . "M\u00E9moires de deux jeunes mari\u00E9es"@pt . . "M\u00E9moires de deux jeunes mari\u00E9es est un roman \u00E9pistolaire d\u2019Honor\u00E9 de Balzac paru sous la forme de roman-feuilleton dans La Presse en 1841 en deux parties, sous deux titres diff\u00E9rents : M\u00E9moires d\u2019une jeune femme (sans doute \u00E9crit en 1834) et S\u0153ur Marie des Anges. Il fut publi\u00E9 chez Furne en 1842 dans les Sc\u00E8nes de la vie priv\u00E9e et d\u00E9dicac\u00E9 \u00E0 George Sand, dont la force de caract\u00E8re a certainement inspir\u00E9 l\u2019auteur de La Com\u00E9die humaine."@fr . . . . "Biblioth\u00E8que de la Pl\u00E9iade"@fr . . . . . "M\u00E9moires de deux jeunes mari\u00E9es"@fr . . . "M\u00E9moires de deux jeunes mari\u00E9es"@fr . . . . "Charles Gosselin" . . . . . "1841"^^ . . . . . "M\u00E9moires de deux jeunes mari\u00E9es"@fr . . "M\u00E9moires de deux jeunes mari\u00E9es"@fr . . . "M\u00E9moires de deux jeunes mari\u00E9es"@fr . . . . . "11961"^^ . . "Sc\u00E8nes de la vie priv\u00E9e"@fr . "M\u00E9moires de deux jeunes mari\u00E9es est un roman \u00E9pistolaire d\u2019Honor\u00E9 de Balzac paru sous la forme de roman-feuilleton dans La Presse en 1841 en deux parties, sous deux titres diff\u00E9rents : M\u00E9moires d\u2019une jeune femme (sans doute \u00E9crit en 1834) et S\u0153ur Marie des Anges. Il fut publi\u00E9 chez Furne en 1842 dans les Sc\u00E8nes de la vie priv\u00E9e et d\u00E9dicac\u00E9 \u00E0 George Sand, dont la force de caract\u00E8re a certainement inspir\u00E9 l\u2019auteur de La Com\u00E9die humaine. Ce roman reste n\u00E9anmoins en marge de ceux qui constituent La Com\u00E9die humaine, dans la mesure o\u00F9 il est le seul roman \u00E9pistolaire de Balzac. St\u00E9nie, son premier roman, \u00E9tait rest\u00E9 inachev\u00E9 ; quant au Lys dans la vall\u00E9e, c'est essentiellement un r\u00E9cit \u00E0 la premi\u00E8re personne d\u00E9guis\u00E9 sous forme de lettre, c'est pour Balzac le \u00AB seul syst\u00E8me qui puisse rendre vraisemblable une histoire fictive \u00BB (pr\u00E9face du Lys dans la vall\u00E9e). Le titre d\u00E9finitif ne donne pas la mesure exacte de la puissance et, parfois, de la violence verbale de ce roman. Les deux protagonistes repr\u00E9sentent deux caract\u00E8res oppos\u00E9s. L'une pr\u00E9sente un caract\u00E8re de femme passionn\u00E9e capable de lutter contre les siens pour \u00E9chapper aux lois familiales, pr\u00EAte \u00E0 tout pour vivre selon ses conceptions ; elle fait partie de ces \u00AB bolides humains \u00BB qui traversent La Com\u00E9die humaine avec \u00E9clat. L'autre est au contraire r\u00E9sign\u00E9e \u00E0 la maternit\u00E9 et dispos\u00E9e \u00E0 faire un mariage sans passion, convaincue que c'est le destin de la femme, r\u00E9sign\u00E9e aux d\u00E9sirs de sa famille et de la soci\u00E9t\u00E9 ; mari\u00E9e par raison, elle suit un chemin sans heurt et fait le bonheur des siens."@fr . . "26"^^ . . . . "I"@fr . . . . . . . . . . . . "fr"@fr . . "Paris"@fr . . .