. . . . . . . . "\u0414\u043E\u043A\u0443\u0447\u043D\u044B\u0435"@ru . "Les F\u00E2cheux"@fr . . . "1661-08-17"^^ . . . . "Pierre Beauchamp & Jean-Baptiste Lully, puis Marc-Antoine Charpentier"@fr . . . . . . "Premi\u00E8re page de l'\u00E9dition de 1662"@fr . . "\u306F\u305F\u8FF7\u60D1\u306A\u4EBA\u305F\u3061"@ja . . . . . . . . "Com\u00E9die-ballet"@fr . . . . . . . . . . . "1661"^^ . . "Les F\u00E2cheux est une com\u00E9die-ballet en trois actes et en vers de Moli\u00E8re, faite pour les divertissements de Louis XIV au mois d'ao\u00FBt 1661. La musique est de Jean-Baptiste Lully, compositeur pr\u00E9f\u00E9r\u00E9 du roi, et les pas de danse sont de Pierre Beauchamp . C'est la premi\u00E8re com\u00E9die-ballet au monde de l'histoire. En 1672, la pi\u00E8ce est reprise par La Com\u00E9die-Fran\u00E7aise avec la musique (perdue) compos\u00E9e par Marc-Antoine Charpentier. Le po\u00E8te Paul Pellisson en a \u00E9crit le prologue. La premi\u00E8re repr\u00E9sentation est donn\u00E9e le 17 ao\u00FBt dans le parc du ch\u00E2teau de Vaux-le-Vicomte, par la troupe de Moli\u00E8re \u00E0 l'occasion de la c\u00E9l\u00E8bre et fastueuse f\u00EAte donn\u00E9e par le surintendant Fouquet en l'honneur de Louis XIV. Elle est ensuite repr\u00E9sent\u00E9e en public \u00E0 Paris le 4 novembre 1661, au Th\u00E9\u00E2tre du Palais-Royal. La musique et les ballets sont de Pierre Beauchamp, les d\u00E9cors de Giacomo Torelli. La pi\u00E8ce sera un succ\u00E8s et sera jou\u00E9e 106 fois du vivant de Moli\u00E8re. Le roi lui-m\u00EAme, lisant le manuscrit de la pi\u00E8ce, pensa \u00E0 un f\u00E2cheux que Moli\u00E8re n'avait pas repr\u00E9sent\u00E9. Celui-ci, averti, modifia la pi\u00E8ce en cons\u00E9quence ; cet \u00E9pisode inaugurera une recette \u00E0 succ\u00E8s de Moli\u00E8re consistant \u00E0 impliquer le roi dans le processus de cr\u00E9ation, ou du moins, \u00E0 en donner l'impression \u00E0 celui-ci, et surtout, attire l'attention du monarque sur le dramaturge. Moli\u00E8re remplit ses trois actes d\u2019un d\u00E9fil\u00E9 de toutes sortes de f\u00E2cheux emp\u00EAchant \u00C9raste de parler \u00E0 Orphise dont il est amoureux, et dont il obtiendra la main \u00E0 la fin du 3e acte. Il y a au total dix f\u00E2cheux, huit hommes (dont un, Alcidor, n'appara\u00EEt que pendant quelques secondes et ne parle pas) et deux femmes. Les huit personnages masculins f\u00E2cheux ont tous \u00E9t\u00E9 jou\u00E9s par Moli\u00E8re quand la pi\u00E8ce a \u00E9t\u00E9 repr\u00E9sent\u00E9e \u00E0 Vaux-le-Vicomte et plus tard \u00E0 Paris."@fr . . . . . . . . . . . . . . . "7833"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . "Les F\u00E2cheux"@fr . . . . "179867003"^^ . "1268110"^^ . . . "3"^^ . . "Les F\u00E2cheux est une com\u00E9die-ballet en trois actes et en vers de Moli\u00E8re, faite pour les divertissements de Louis XIV au mois d'ao\u00FBt 1661. La musique est de Jean-Baptiste Lully, compositeur pr\u00E9f\u00E9r\u00E9 du roi, et les pas de danse sont de Pierre Beauchamp . C'est la premi\u00E8re com\u00E9die-ballet au monde de l'histoire. En 1672, la pi\u00E8ce est reprise par La Com\u00E9die-Fran\u00E7aise avec la musique (perdue) compos\u00E9e par Marc-Antoine Charpentier. Le po\u00E8te Paul Pellisson en a \u00E9crit le prologue."@fr . . . . .