"2201"^^ . "L'\u00C9ph\u00E8be de Pergame est un r\u00E9cit ench\u00E2ss\u00E9 dans le roman du Satyricon, roman attribu\u00E9 \u00E0 P\u00E9trone. Cette histoire, ins\u00E9r\u00E9 au sein du r\u00E9cit principal au moyen d'une rencontre hasardeuse, pr\u00E9sente \u00AB un cas de corruption \u00BB et semble constituer une illustration des malheurs d'Encolpe, le narrateur du roman. Il pr\u00E9sente donc un lien avec l'\u00E9pisode pr\u00E9c\u00E9dent mais, surtout, il annonce \u00AB le long d\u00E9veloppement sur la d\u00E9cadence des temps \u00BB. Il semble que ce conte soit un emprunt \u00E0 une source grecque non identifi\u00E9e. Ce conte est, avec celui de la Matrone d'\u00C9ph\u00E8se, un conte mil\u00E9sien. L'artiste Gaston Goor a donn\u00E9, sur une commande de Roger Peyrefitte, de nombreuses illustrations \u00E9rotiques dont ce r\u00E9cit est le pr\u00E9texte."@fr . "5591472"^^ . . . "https://books.google.com/books?id=GOhFhrVcPgEC&printsec=frontcover|id=F\u00E9ray, 2000"@fr . "214"^^ . . "91"^^ . . "171641347"^^ . "Une \u00E9tude comparative"@fr . "2000"^^ . . . . "Deux r\u00E9cits mil\u00E9siens chez P\u00E9trone"@fr . "59"^^ . . . "Quintes-Feuilles"@fr . "L'\u00C9ph\u00E8be de Pergame est un r\u00E9cit ench\u00E2ss\u00E9 dans le roman du Satyricon, roman attribu\u00E9 \u00E0 P\u00E9trone. Cette histoire, ins\u00E9r\u00E9 au sein du r\u00E9cit principal au moyen d'une rencontre hasardeuse, pr\u00E9sente \u00AB un cas de corruption \u00BB et semble constituer une illustration des malheurs d'Encolpe, le narrateur du roman. Il pr\u00E9sente donc un lien avec l'\u00E9pisode pr\u00E9c\u00E9dent mais, surtout, il annonce \u00AB le long d\u00E9veloppement sur la d\u00E9cadence des temps \u00BB."@fr . "--06-23"^^ . . "Parca, 2002"@fr . . . "Maryline Parca"@fr . . . "978"^^ . "oui"@fr . . "P\u00E9trone"@fr . . "1981"^^ . . . "Encolpe et Giton, ou le Satyricon de P\u00E9trone moins le festin chez Trimalcion"@fr . . "L'\u00C9ph\u00E8be de Pergame"@fr . . "10.3406"^^ . . "Revue belge de philologie et d'histoire"@fr . . . . . .