. . . "Le Kankurang, rite d\u2019initiation mandingue"@fr . . . . . . . . . . "2005"^^ . "Le kankourang (\u00E9galement kankouran, kankurang ou konkoran) d\u00E9signe \u00E0 la fois un masque et un rituel c\u00E9l\u00E9brant la circoncision parmi les Mandingues de S\u00E9n\u00E9gambie, en Gambie et au S\u00E9n\u00E9gal, notamment en Casamance, mais \u00E9galement \u00E0 Mbour o\u00F9 vit une importante communaut\u00E9 mandingue. Il joue aussi un r\u00F4le de r\u00E9gulation et de pr\u00E9servation des valeurs sociales. Dans ses formes actuelles, il serait originaire de l'ancien royaume du Kaabu. C'est un personnage mythique recouvert des fibres extraites d'\u00E9corces d'arbre rouges. Tr\u00E8s craint, voire violent, il parcourt les rues en terrorisant la population pour prot\u00E9ger les jeunes circoncis pendant leur initiation. La manifestation se d\u00E9roule sur 30 jours (4 dimanches successifs et presque toutes les nuits). En 2005 le kankourang a \u00E9t\u00E9 \u00E9lev\u00E9 au rang de patrimoine culturel immat\u00E9riel de l'humanit\u00E9 par l\u2019UNESCO, car l'urbanisation croissante et le tourisme ont parfois conduit \u00E0 des d\u00E9rives anarchiques."@fr . . "143"^^ . . . . "repr\u00E9sentatif"@fr . "Kankourang en Haute-Casamance"@fr . "189508694"^^ . . . . . . . . . . . . . "Kankourang"@fr . . "le kankourang"@fr . . . . . . . . . . "Kankurang"@nl . . "Afrique"@fr . "Kankurang"@de . . . . "4990387"^^ . "Kankurang"@ca . . . . . "2008"^^ . . . . . . . "Le kankourang (\u00E9galement kankouran, kankurang ou konkoran) d\u00E9signe \u00E0 la fois un masque et un rituel c\u00E9l\u00E9brant la circoncision parmi les Mandingues de S\u00E9n\u00E9gambie, en Gambie et au S\u00E9n\u00E9gal, notamment en Casamance, mais \u00E9galement \u00E0 Mbour o\u00F9 vit une importante communaut\u00E9 mandingue. Il joue aussi un r\u00F4le de r\u00E9gulation et de pr\u00E9servation des valeurs sociales. Dans ses formes actuelles, il serait originaire de l'ancien royaume du Kaabu."@fr . . ":category:Konkoran"@fr . . . "3837"^^ . . .