. . . . . . . . . . . . . "Joe Chambers est un batteur, percussionniste, vibraphoniste et pianiste am\u00E9ricain n\u00E9 le 25 juin 1942 \u00E0 , Virginie. Apr\u00E8s avoir \u00E9tudi\u00E9 \u00E0 Philadelphie et Washington, o\u00F9 il a commenc\u00E9 \u00E0 jouer (1960-63), il d\u00E9bute \u00E0 New York avec Eric Dolphy (1963) et enregistre son premier album pour Blue Note en (1964), il devient l'un des batteurs maison de la firme. En 1965, il enregistre avec Wayne Shorter, Sam Rivers, Bobby Hutcherson ; joue avec Lou Donaldson, Jimmy Giuffre, Andrew Hill, Charles Lloyd et Archie Shepp \u00E0 Newport. En Europe on l'entend aux c\u00F4t\u00E9s de Harold Land et Hutcherson (1969). Il entre au de Max Roach d\u00E8s 1970. Peu souvent mis \u00E0 l'avant plan, il poursuit une carri\u00E8re f\u00E9conde aupr\u00E8s des plus grands : Shepp (1969-77), Mingus (1972) \u00E0 Town Hall, Woody Shaw (1977), (1982), Steve Grossma"@fr . . . . . . . . . . . . . "Joe Chambers"@fr . . . . "Joe Chambers est un batteur, percussionniste, vibraphoniste et pianiste am\u00E9ricain n\u00E9 le 25 juin 1942 \u00E0 , Virginie. Apr\u00E8s avoir \u00E9tudi\u00E9 \u00E0 Philadelphie et Washington, o\u00F9 il a commenc\u00E9 \u00E0 jouer (1960-63), il d\u00E9bute \u00E0 New York avec Eric Dolphy (1963) et enregistre son premier album pour Blue Note en (1964), il devient l'un des batteurs maison de la firme. En 1965, il enregistre avec Wayne Shorter, Sam Rivers, Bobby Hutcherson ; joue avec Lou Donaldson, Jimmy Giuffre, Andrew Hill, Charles Lloyd et Archie Shepp \u00E0 Newport. En Europe on l'entend aux c\u00F4t\u00E9s de Harold Land et Hutcherson (1969). Il entre au de Max Roach d\u00E8s 1970. Peu souvent mis \u00E0 l'avant plan, il poursuit une carri\u00E8re f\u00E9conde aupr\u00E8s des plus grands : Shepp (1969-77), Mingus (1972) \u00E0 Town Hall, Woody Shaw (1977), (1982), Steve Grossman (1984)\u2026 Le interpr\u00E8te sa composition The Almoravid (1974). Il r\u00E9v\u00E8le ses talents de pianiste en duo avec Larry Young, puis enregistre en piano solo (1978). On le retrouve aussi au vibraphone et aux percussions sur des albums comme, The Outlaw (2005) ou Horace To Max (2009). En Europe, on le remarque avec Mingus Dynasty (1982) et au sein de (1987), il participe \u00E0 la musique du film de Spike Lee \u00AB She's Gotta Have It \u00BB (1987), enregistre avec les pianistes (1988), (1989) et Kevin Hays, le fl\u00FBtiste Jeremy Steig, en tant que leader (1991), ainsi qu'avec le saxophoniste Rickey Woodard (1992). En 1991, il dirige un quintette au (nouveau) Birdland de New York, en 2002, il dirige un sextet avec Jim Rotondi, , , et Franck Amsallem. Le groupe se produit aux festivals de Molde et de Pori. Rejetant l'aspect spectaculaire ou p\u00E9remptoire de la percussion, Chambers tend \u00E0 la concision. Son jeu foisonnant reste rigoureux, attentif \u00E0 l'aspect m\u00E9lodique et aux contrastes dynamiques, et d\u00E9note un go\u00FBt pour la forme qu'on retrouve chez le compositeur."@fr . . . . . . . . . . "Joe Chambers"@pl . . . "\u062C\u0648 \u0634\u0627\u0645\u0628\u0631\u0632"@ar . . . . "Stoneacre"@fr . . . . . . . . . . . . . . "Joe Chambers"@fr . . "Joe Chambers"@en . . . . . "Joseph Arthur Chambers"@fr . . . . . . . "Joe Chambers" . . "4460"^^ . "Joe Chambers"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "1942-06-25"^^ . . . . . . . . . . . . "instrumentiste"@fr . . . . . . . . . . . . "5238035"^^ . . . . . . . . . . . . "\u30B8\u30E7\u30FC\u30FB\u30C1\u30A7\u30F3\u30D0\u30FC\u30B9"@ja . . . . . . . . "182698735"^^ . . . . . . . . . . . "Joseph Arthur Chambers"@fr . . . . . . . "Joe Chambers"@fr . . . . . . . . . . . . . "Joe Chambers"@nl . . . . . . . . . . . . . "1942-06-25"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . .