. . . . . . . . . . . . "1860-01-30"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . "4428851"^^ . . . . . . . . . . . . . . "Jean-Dominique Fuss, n\u00E9 \u00E0 D\u00FCren le 2 janvier 1782 et d\u00E9c\u00E9d\u00E9 \u00E0 Li\u00E8ge le 30 janvier 1860, est un po\u00E8te et historien belge de langue latine. Il fut \u00E9galement professeur puis recteur (1844) de l'Universit\u00E9 de Li\u00E8ge. Il figure \u00E0 c\u00F4t\u00E9 de Jean-Baptiste Camberlyn et de Jacques-Joseph Deglimes comme un des trois meilleurs po\u00E8tes latins qui ont fleuri en Belgique au d\u00E9but du XIXe si\u00E8cle. Il est vraisemblablement le premier \u00E0 avoir utilis\u00E9 le mot neo-latinus dans le sens actuel."@fr . . "Jean-Dominique Fuss, n\u00E9 \u00E0 D\u00FCren le 2 janvier 1782 et d\u00E9c\u00E9d\u00E9 \u00E0 Li\u00E8ge le 30 janvier 1860, est un po\u00E8te et historien belge de langue latine. Il fut \u00E9galement professeur puis recteur (1844) de l'Universit\u00E9 de Li\u00E8ge. Il figure \u00E0 c\u00F4t\u00E9 de Jean-Baptiste Camberlyn et de Jacques-Joseph Deglimes comme un des trois meilleurs po\u00E8tes latins qui ont fleuri en Belgique au d\u00E9but du XIXe si\u00E8cle. Il est vraisemblablement le premier \u00E0 avoir utilis\u00E9 le mot neo-latinus dans le sens actuel. Le latin \u00E9tait pour lui sa v\u00E9ritable langue et il n'a jamais su \u00E9crire avec \u00E9l\u00E9gance dans une langue moderne m\u00EAme si sa traduction en vers allemands de la trag\u00E9die Lucr\u00E8ce de Fran\u00E7ois Ponsard fut appr\u00E9ci\u00E9e. \u00C9l\u00E8ve de Schelling il commen\u00E7a sa carri\u00E8re \u00E0 Paris comme pr\u00E9cepteur du fils du comte Louis Maximilien Rigal, comme lui d'origine allemande. Il avait \u00E9galement tiss\u00E9 des liens avec Schlegel et madame de Sta\u00EBl."@fr . . . . . . . . . . . . . "1782-01-02"^^ . . . . . . . . . "5726"^^ . . . . . . . . . . . . . "Jean-Dominique Fuss"@fr . . . . . . . . . . . . . . "186123556"^^ . . . . . .