. . . . "2101"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Jan Sk\u00E1cel"@de . . . . . . . . . "\u0686\u0627\u0646 \u0633\u0643\u0627\u0633\u064A\u0644"@arz . . . . "Jan Sk\u00E1cel, n\u00E9 le 7 f\u00E9vrier 1922 \u00E0 Vnorovy, mort le 7 novembre 1989 \u00E0 Brno, est un po\u00E8te tch\u00E8que de Moravie. Jan Sk\u00E1cel fait d'abord ses \u00E9tudes secondaires \u00E0 B\u0159eclav puis \u00E0 Brno, o\u00F9 il termine ses \u00E9tudes secondaires en 1941.Sous l'Occupation nazie il est assign\u00E9 au travail obligatoire en Autriche annex\u00E9e au Reich. Apr\u00E8s la Seconde Guerre mondiale, il termine ses \u00E9tudes de philosophie \u00E0 l'universit\u00E9 Masaryk de Brno puis entre en 1948 comme journaliste au quotidien Rovnost, d'o\u00F9 il sera licenci\u00E9. En 1963 il devient directeur de la revue Host do domu, censur\u00E9e d\u00E8s 1969. Interdit de publication, ses textes sont diffus\u00E9s en samizdat et par les maisons d'\u00E9dition tch\u00E8ques \u00E0 l'\u00E9tranger. En 1981, son \u0153uvre est de nouveau autoris\u00E9e \u00E0 para\u00EEtre."@fr . . "Jan Sk\u00E1cel, n\u00E9 le 7 f\u00E9vrier 1922 \u00E0 Vnorovy, mort le 7 novembre 1989 \u00E0 Brno, est un po\u00E8te tch\u00E8que de Moravie. Jan Sk\u00E1cel fait d'abord ses \u00E9tudes secondaires \u00E0 B\u0159eclav puis \u00E0 Brno, o\u00F9 il termine ses \u00E9tudes secondaires en 1941.Sous l'Occupation nazie il est assign\u00E9 au travail obligatoire en Autriche annex\u00E9e au Reich. Apr\u00E8s la Seconde Guerre mondiale, il termine ses \u00E9tudes de philosophie \u00E0 l'universit\u00E9 Masaryk de Brno puis entre en 1948 comme journaliste au quotidien Rovnost, d'o\u00F9 il sera licenci\u00E9. En 1981, son \u0153uvre est de nouveau autoris\u00E9e \u00E0 para\u00EEtre."@fr . . . . . "190820094"^^ . . . "Jan Sk\u00E1cel"@pl . "1993-10-30"^^ . . . . . . . . . . . . . "559880"^^ . . . "Jan Sk\u00E1cel"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Jan Sk\u00E1cel, signature.jpg" . . "\u0421\u043A\u0430\u0446\u0435\u043B, \u042F\u043D"@ru . . . . . . . . . . . . . .