. "chuanqi"@fr . ""@fr . "1645"^^ . "chinois"@fr . . . . "\u0425\u0443\u043D \u0428\u044D\u043D"@ru . . . . . . . "P109"@fr . "P734"@fr . "P20"@fr . . "dramaturge"@fr . . "Hong Sheng"@fr . . . . . ""@fr . "Hong Sheng"@fr . . . . . . "2684"^^ . . . . "P742"@fr . . . . . "Hong Sheng"@fr . . . . . "P742"@fr . . "179242874"^^ . . . . . . . . . "P135"@fr . . . . . "1704"^^ . "8809209"^^ . . . . . . "Le Palais de la long\u00E9vit\u00E9"@fr . . . . . . "Hong Sheng, n\u00E9 en 1645, mort en 1704, est un dramaturge chinois. Hong Sheng est n\u00E9 \u00E0 Hangzhou (province du Zhejiang) en 1645, au tout d\u00E9but de la dynastie des Qing. Membre du coll\u00E8ge imp\u00E9rial, il devient c\u00E9l\u00E8bre en 1688 avec sa pi\u00E8ce Le Palais de la long\u00E9vit\u00E9 (Changsheng dian). La repr\u00E9sentation de sa pi\u00E8ce durent une p\u00E9riode de deuil imp\u00E9rial lui vaut un exil dans le Sud. Il y vit pauvrement et meurt par accident, de noyade, en 1704. Po\u00E8te, dramaturge, Hong Sheng est l'auteur de dix op\u00E9ras, neuf chuanqi (dont Le Palais de la long\u00E9vit\u00E9) et un zaju, Les Quatre Beaut\u00E9s (Si chanjuan). En dehors du Palais et des Quatre Beaut\u00E9s, toutes ses pi\u00E8ces sont perdues. Le Palais de la long\u00E9vit\u00E9 de Hong Sheng et (en) de Kong Shangren, jou\u00E9es dans le style du kunqu, sont les deux pi\u00E8ces les plus c\u00E9l\u00E8bres du r\u00E9pertoire de la dynastie Qing. Les Quatre Beaut\u00E9s, dans le genre du zaju, s'inspirent du Gibbon aux quatre cris de Xu Wei (1521-1593). Ces quatre beaut\u00E9s sont quatre c\u00E9l\u00E9brit\u00E9s f\u00E9minines et artistes, l'histoire de chacune \u00E9tant racont\u00E9e en un acte."@fr . "P734"@fr . . . . . . . . . . . ""@fr . . . . "P166"@fr . "Hong Sheng, n\u00E9 en 1645, mort en 1704, est un dramaturge chinois. Hong Sheng est n\u00E9 \u00E0 Hangzhou (province du Zhejiang) en 1645, au tout d\u00E9but de la dynastie des Qing. Membre du coll\u00E8ge imp\u00E9rial, il devient c\u00E9l\u00E8bre en 1688 avec sa pi\u00E8ce Le Palais de la long\u00E9vit\u00E9 (Changsheng dian). La repr\u00E9sentation de sa pi\u00E8ce durent une p\u00E9riode de deuil imp\u00E9rial lui vaut un exil dans le Sud. Il y vit pauvrement et meurt par accident, de noyade, en 1704."@fr . . . .