. . . "L'heure d'or est un concept de m\u00E9decine d'urgence. La plupart des bless\u00E9s graves (polytraumatis\u00E9, ou bien victime d'une h\u00E9morragie interne) meurent dans les premi\u00E8res heures. On a donc un taux de survie optimal si la victime se retrouve sur une table d'op\u00E9ration dans l'heure qui suit l'accident. Une c\u00E9l\u00E8bre \u00E9tude de Trunkey men\u00E9e en Californie en 1983 met en \u00E9vidence pour les morts cons\u00E9cutives \u00E0 un accident de la route que :"@fr . . . "104917"^^ . . . . . . . . . . . "167708050"^^ . "Golden hour"@it . . . . . . . . . . . "Heure d'or"@fr . . . "Gi\u1EDD v\u00E0ng (y h\u1ECDc)"@vi . . . . . . "L'heure d'or est un concept de m\u00E9decine d'urgence. La plupart des bless\u00E9s graves (polytraumatis\u00E9, ou bien victime d'une h\u00E9morragie interne) meurent dans les premi\u00E8res heures. On a donc un taux de survie optimal si la victime se retrouve sur une table d'op\u00E9ration dans l'heure qui suit l'accident. Une c\u00E9l\u00E8bre \u00E9tude de Trunkey men\u00E9e en Californie en 1983 met en \u00E9vidence pour les morts cons\u00E9cutives \u00E0 un accident de la route que : \n* 50 % des tu\u00E9s meurent sur le coup, du fait de leurs l\u00E9sions ; \n* 30 % meurent dans les quatre premi\u00E8res heures suivant l'accident ; \n* 20 % meurent dans la semaine, \u00E0 cause de la d\u00E9faillance de plusieurs organes."@fr . . . . . . . . . . . . . "3052"^^ . . .