. "2580"^^ . . . "4379398"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . "Glacis (fortification)"@fr . . . . . . . . "187126855"^^ . "Glacis (enginyeria militar)"@ca . . . . "En architecture militaire, le glacis est un terme d\u00E9signant \u00E0 l'origine un terrain d\u00E9couvert, g\u00E9n\u00E9ralement am\u00E9nag\u00E9 en pente douce \u00E0 partir des \u00E9l\u00E9ments ext\u00E9rieurs d'un ouvrage fortifi\u00E9, sur la contrescarpe. Il avait notamment pour fonction de n'offrir aucun abri \u00E0 d'\u00E9ventuels agresseurs de la place forte et de d\u00E9gager le champ de vision de ses d\u00E9fenseurs. Il \u00E9tait suivi par le chemin couvert, qui permettait \u00E0 des soldats \u00E9quip\u00E9s d'armes de courte port\u00E9e de d\u00E9fendre le glacis sans \u00EAtre sous le feu de l'ennemi. Le glacis se trouvait donc sous la double couverture des fusils d'une part et de l\u2019artillerie d'autre part, plac\u00E9e sur les bastions et les courtines de la forteresse."@fr . "En architecture militaire, le glacis est un terme d\u00E9signant \u00E0 l'origine un terrain d\u00E9couvert, g\u00E9n\u00E9ralement am\u00E9nag\u00E9 en pente douce \u00E0 partir des \u00E9l\u00E9ments ext\u00E9rieurs d'un ouvrage fortifi\u00E9, sur la contrescarpe. Il avait notamment pour fonction de n'offrir aucun abri \u00E0 d'\u00E9ventuels agresseurs de la place forte et de d\u00E9gager le champ de vision de ses d\u00E9fenseurs. Il \u00E9tait suivi par le chemin couvert, qui permettait \u00E0 des soldats \u00E9quip\u00E9s d'armes de courte port\u00E9e de d\u00E9fendre le glacis sans \u00EAtre sous le feu de l'ennemi. Le glacis se trouvait donc sous la double couverture des fusils d'une part et de l\u2019artillerie d'autre part, plac\u00E9e sur les bastions et les courtines de la forteresse. Par extension, le terme est employ\u00E9 pour d\u00E9signer un espace-tampon m\u00E9nag\u00E9 par une puissance autour de ses fronti\u00E8res par le contr\u00F4le de r\u00E9gions, voire de pays, limitrophes, afin d'optimiser la d\u00E9fense de son territoire. Il peut \u00EAtre dans ce cas nomm\u00E9 \u00AB zone d\u00E9militaris\u00E9e \u00BB : \n* c'est ainsi que la d\u00E9militarisation de la rive droite du Rhin en Allemagne et le contr\u00F4le par la France des r\u00E9gions frontali\u00E8res devait servir de glacis \u00E0 cette derni\u00E8re au sortir de la Premi\u00E8re Guerre mondiale ; \n* de m\u00EAme, dans la doctrine militaire sovi\u00E9tique, l'ensemble des \u00C9tats satellites voisins fournissait le recul n\u00E9cessaire au commandement pour organiser la d\u00E9fense du pays. L'obsession du commandement militaire de disposer d'une zone tampon en Europe renvoie au traumatisme suscit\u00E9 par l'invasion de l'URSS par les arm\u00E9es allemandes en juin 1941 (op\u00E9ration Barbarossa). La sovi\u00E9tisation de l'Europe de l'Est et la constitution du pacte de Varsovie (1955) ont donn\u00E9 \u00E0 l'URSS un glacis d\u00E9fensif. Le terme est usit\u00E9 en arch\u00E9ologie, o\u00F9 il d\u00E9signe \u00E9galement un talus d\u00E9fensif ; la fonction du glacis est de contraindre les attaquants \u00E0 avancer \u00E0 d\u00E9couvert."@fr . . . . . . . "\u659C\u5824"@ja . . . . . . . "\u0413\u043B\u0430\u0441\u0438\u0441"@uk . . . . . . . . . . . . "Glacis"@en . . "Glacis (vesting)"@nl . . . . . . . . . . . . . . . .