"G.711"@ja . . . . . . . "Le G.711 est une norme de compression audio de l'UIT-T qui d\u00E9finit les codages PCM-U et PCM-A, s'appuyant sur les lois de quantification A (Europe, Afrique) ou \u00B5 (Am\u00E9rique du Nord, Japon). \n* \u00C9chantillonnage : 8 000 Hz pour une bande passante du t\u00E9l\u00E9phone de 300 \u2014 3 400 Hz \n* Bande passante sur le r\u00E9seau : 64 ou 56 kbit/s \n* Type de codage : MIC (Modulation d'impulsion cod\u00E9e, PCM en anglais) Son principe repose sur une grille de quantification non lin\u00E9aire, permettant de diminuer le rapport bruit-sur-signal et l'erreur de quantification pour les sons de faible amplitude. Un codage sur 8 bits en G.711 correspond \u00E0 une quantification sur 13 ou 14 bits en MIC (PCM en anglais). La norme G.711 a \u00E9t\u00E9 r\u00E9vis\u00E9e en 2000. Elle est la base du transport de la voix sur le r\u00E9seau t\u00E9l\u00E9phonique commut\u00E9 (RTC, PSTN en anglais) ou sur le RNIS (ISDN en anglais) et est \u00E9galement utilis\u00E9e pour le transport de la voix avec peu de compression dans certains r\u00E9seaux IP, comme sur les offres de t\u00E9l\u00E9phonie sur les \u00AB boxes \u00BB ou sur des r\u00E9seaux locaux IP. Elle est en revanche assez peu utilis\u00E9e pour faire de la t\u00E9l\u00E9phonie directement sur des r\u00E9seaux \u00E9tendus comme Internet \u00E0 cause d'une utilisation importante de bande passante (64 kb/s)."@fr . . "2104"^^ . . . "G.711"@pl . . "G.711"@ca . . "Le G.711 est une norme de compression audio de l'UIT-T qui d\u00E9finit les codages PCM-U et PCM-A, s'appuyant sur les lois de quantification A (Europe, Afrique) ou \u00B5 (Am\u00E9rique du Nord, Japon). \n* \u00C9chantillonnage : 8 000 Hz pour une bande passante du t\u00E9l\u00E9phone de 300 \u2014 3 400 Hz \n* Bande passante sur le r\u00E9seau : 64 ou 56 kbit/s \n* Type de codage : MIC (Modulation d'impulsion cod\u00E9e, PCM en anglais)"@fr . "G.711"@uk . . . "138959486"^^ . . . . . . "G.711"@de . . . . . . . "G.711"@es . . . . . . . . . . . "54110"^^ . "G.711"@fr . . . . . . . . . . . . . . .