. . . . . . . . . . . . . "\u30DB\u30E1\u30AA\u30C6\u30A3\u30C3\u30AF\u907A\u4F1D\u5B50"@ja . . "468866"^^ . . . . . . . "G\u00E8ne Hox"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Les g\u00E8nes Hox sont une cat\u00E9gorie particuli\u00E8re de g\u00E8nes hom\u00E9otiques ; ils sont parmi les g\u00E8nes les plus longuement \u00E9tudi\u00E9s de la biologie \u00E9volutive. Les g\u00E8nes hom\u00E9otiques poss\u00E8dent une s\u00E9quence ADN qualifi\u00E9e de bo\u00EEte hom\u00E9otique ou hom\u00E9obo\u00EEte. D\u2019ailleurs leur nom, \u00AB Hox \u00BB, provient de la contraction de l\u2019anglais \u00AB homeobox \u00BB signifiant hom\u00E9obo\u00EEte. L\u2019hom\u00E9obo\u00EEte va coder un hom\u00E9odomaine dans les prot\u00E9ines traduites. Ces prot\u00E9ines sont des facteurs de transcription (type de prot\u00E9ine de r\u00E9gulation g\u00E9n\u00E9tique) qui, gr\u00E2ce \u00E0 leur hom\u00E9odomaine poss\u00E9dant une conformation particuli\u00E8re, leur permet de se lier fortement \u00E0 l\u2019ADN et permet d\u2019activer en cascade d'autres g\u00E8nes. Les g\u00E8nes Hox sont communs \u00E0 la quasi-totalit\u00E9 des animaux bilat\u00E9riens (les organismes avec sym\u00E9trie radiaire semblent faire exception) en \u00E9tant pr\u00E9sents sous forme de complexes (\u00AB cluster \u00BB en anglais) chez la plupart des organismes \u00E9tudi\u00E9s et en quantit\u00E9 tr\u00E8s variable : un chez les Placozoaires, 4 chez les N\u00E9matodes, 8 chez les Arthropodes, 10 chez les \u00C9chinodermes, 13 chez les Vert\u00E9br\u00E9s. Par exemple, la drosophile poss\u00E8de huit g\u00E8nes Hox organis\u00E9s en deux complexes alors que l\u2019humain poss\u00E8de trente-neuf g\u00E8nes divis\u00E9s en treize complexes selon leur position et la similarit\u00E9 de leur s\u00E9quence."@fr . . . . . . . . . . . "Hox gene"@en . . . . . . "Genes Hox"@es . . . . . . . . . "189035228"^^ . . . . . . . "31437"^^ . . "Hox-\u0433\u0435\u043D\u044B"@ru . . . . "Les g\u00E8nes Hox sont une cat\u00E9gorie particuli\u00E8re de g\u00E8nes hom\u00E9otiques ; ils sont parmi les g\u00E8nes les plus longuement \u00E9tudi\u00E9s de la biologie \u00E9volutive. Les g\u00E8nes hom\u00E9otiques poss\u00E8dent une s\u00E9quence ADN qualifi\u00E9e de bo\u00EEte hom\u00E9otique ou hom\u00E9obo\u00EEte. D\u2019ailleurs leur nom, \u00AB Hox \u00BB, provient de la contraction de l\u2019anglais \u00AB homeobox \u00BB signifiant hom\u00E9obo\u00EEte. L\u2019hom\u00E9obo\u00EEte va coder un hom\u00E9odomaine dans les prot\u00E9ines traduites. Ces prot\u00E9ines sont des facteurs de transcription (type de prot\u00E9ine de r\u00E9gulation g\u00E9n\u00E9tique) qui, gr\u00E2ce \u00E0 leur hom\u00E9odomaine poss\u00E9dant une conformation particuli\u00E8re, leur permet de se lier fortement \u00E0 l\u2019ADN et permet d\u2019activer en cascade d'autres g\u00E8nes."@fr . . . . . . . . . . . . . "Hox-\u0433\u0435\u043D\u0438"@uk . . . . . .