. . . "1967"^^ . . . . "Emma Eliza Coe (n\u00E9e le 26 septembre 1850 \u00E0 Apia, aux Samoa, et morte le 21 juillet 1913 \u00E0 Monte-Carlo), puis Emma Forsayth, Emma Farrell et enfin Emma Kolbe au fil de ses mariages successifs, \u00E9tait une femme d\u2019affaires et propri\u00E9taire de plantation am\u00E9ricano-samoane. Figure c\u00E9l\u00E8bre en son temps, la \u00AB Reine Emma \u00BB a fait l'objet de deux biographies en anglais et d'une en fran\u00E7ais, ainsi que d'une mini-s\u00E9rie t\u00E9l\u00E9vis\u00E9e australienne. Son parcours, rare pour une femme oc\u00E9anienne, est souvent mentionn\u00E9 par les historiens."@fr . . "31660"^^ . . . . . . . . . "Emma and Phebe"@fr . . . . "2"^^ . . . . "189104002"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Paris"@fr . . . . . "Weavers of the Border"@fr . "La Reine des boucaniers"@fr . . . . . . . . . . "123"^^ . . . . . . . . "Une aventuri\u00E8re en Oc\u00E9anie, 1850-1913"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Emma Coe"@fr . "anglais"@fr . . . . . . . . . . . "Robson, Robert William. Queen Emma."@fr . . . . . . "145"^^ . . . . . . "23"^^ . . . . "Seuil"@fr . . "160"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . "13076419"^^ . . . . . . . "Emma Eliza Coe (n\u00E9e le 26 septembre 1850 \u00E0 Apia, aux Samoa, et morte le 21 juillet 1913 \u00E0 Monte-Carlo), puis Emma Forsayth, Emma Farrell et enfin Emma Kolbe au fil de ses mariages successifs, \u00E9tait une femme d\u2019affaires et propri\u00E9taire de plantation am\u00E9ricano-samoane. Emma Coa suit une \u00E9ducation catholique \u00E0 Apia et Sydney, puis passe son adolescence aupr\u00E8s d'un oncle et d'une tante de San Francisco o\u00F9 elle est initi\u00E9e aux codes de la haute soci\u00E9t\u00E9. De retour aux Samoa \u00E0 l'\u00E2ge de 19 ans, elle fonde avec son premier mari James Forsayth la compagnie commerciale et maritime Forsayth & Co. En 1873, son \u00E9poux dispara\u00EEt en mer. La m\u00EAme ann\u00E9e, Emma fait la connaissance du colonel Albert Barnes Steinberger, qui devient le premier Premier ministre des Samoa. Cependant, il commet des erreurs qui entra\u00EEnent un conflit civil \u00E0 Apia entre 1875 et 1876. Emma subit lourdement les cons\u00E9quences de ce conflit puisqu'elle perd son emprise commerciale sur l'archipel. Dans les ann\u00E9es 1880, elle d\u00E9cide de changer d'air et de s'installer avec son nouveau mari, Thomas Farrell, aux \u00EEles Bismarck, en Nouvelle-Guin\u00E9e allemande. Ils d\u00E9veloppent un nouvel empire commercial \u00E0 partir de leurs plantations de cocotiers de la p\u00E9ninsule de Gazelle. Apr\u00E8s la mort de Farrell en 1886, sa veuve, qui reprend le nom de son premier \u00E9poux, continue \u00E0 faire prosp\u00E9rer l'entreprise. Elle est alors connue sous le nom de Queen Emma de Nouvelle-Guin\u00E9e. Dans les derni\u00E8res ann\u00E9es de sa vie, consid\u00E9r\u00E9e comme la propri\u00E9taire de plantations la plus fortun\u00E9e de Nouvelle-Guin\u00E9e, elle vend son empire. Apr\u00E8s s'\u00EAtre install\u00E9e \u00E0 Sydney, elle entreprend un tour d'Europe avec son dernier \u00E9poux, l'Allemand Paul Kolbe, avant de s'installer \u00E0 Monaco. Elle y d\u00E9c\u00E8de le 21 juillet 1913 \u00E0 l'\u00E2ge de 63 ans. Figure c\u00E9l\u00E8bre en son temps, la \u00AB Reine Emma \u00BB a fait l'objet de deux biographies en anglais et d'une en fran\u00E7ais, ainsi que d'une mini-s\u00E9rie t\u00E9l\u00E9vis\u00E9e australienne. Son parcours, rare pour une femme oc\u00E9anienne, est souvent mentionn\u00E9 par les historiens."@fr . . . "1989"^^ . . . . . . . "2014"^^ . . . .