. . "Didier Pineau-Valencienne (DPV), n\u00E9 le 21 mars 1931 dans le 16e arrondissement de Paris, est un chef d'entreprise fran\u00E7ais, dirigeant de Schneider Electric. Issu d'une famille de Vend\u00E9e, Didier Pineau Valencienne fait ses \u00E9tudes \u00E0 HEC Paris, puis part aux \u00C9tats-Unis poursuivre ses \u00E9tudes \u00E0 la Tuck School of Business du Dartmouth College et \u00E0 la Harvard Business School."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "Hirondelle"@fr . "Dans la boucle de l'hirondelle"@fr . . . "2"^^ . . . . . . . . . . . . "160"^^ . . . . . . . . . . . "1931-03-21"^^ . . . . . . "Commandeur de l'ordre national de la L\u00E9gion d'honneur ,"@fr . . . . . "Didier Pineau-Valencienne en 2009."@fr . . . "Qui gouverne?"@fr . . . . . . . "ex-PDG de Bull"@fr . "Ren\u00E9 de Vos"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Des capitaines dans la tourmente"@fr . . . . . "Manager de l'ann\u00E9e 1991"@fr . . "https://books.google.com/books?id=zpIT0lfSW4sC&printsec=frontcover| id=Gouverne"@fr . . . "Didier Pineau-Valencienne (DPV), n\u00E9 le 21 mars 1931 dans le 16e arrondissement de Paris, est un chef d'entreprise fran\u00E7ais, dirigeant de Schneider Electric. Issu d'une famille de Vend\u00E9e, Didier Pineau Valencienne fait ses \u00E9tudes \u00E0 HEC Paris, puis part aux \u00C9tats-Unis poursuivre ses \u00E9tudes \u00E0 la Tuck School of Business du Dartmouth College et \u00E0 la Harvard Business School. Apr\u00E8s avoir un temps travaill\u00E9 au sein du groupe Gallimard, il entre au Groupe Empain o\u00F9 il organise le rachat d'une partie de Schneider dans les ann\u00E9es 1960. Il prend la t\u00EAte d'une des soci\u00E9t\u00E9s du groupe Empain proche de la faillite : Carbonisation Et Charbon Actifs (CECA), la soci\u00E9t\u00E9 est r\u00E9form\u00E9e et parvient \u00E0 faire des b\u00E9n\u00E9fices. En 1969, DPV quitte le Groupe Empain pour entrer au sein de Rh\u00F4ne-Poulenc, o\u00F9 il prend la direction de filiales en difficult\u00E9 avec mission de les restructurer. Il int\u00E8gre ensuite la strat\u00E9gie et le contr\u00F4le de gestion du groupe, il met en place des m\u00E9thodes am\u00E9ricaines de gestion et participe \u00E0 la r\u00E9orientation strat\u00E9gique du groupe en difficult\u00E9 du fait du premier choc p\u00E9trolier. Directeur des divisions industrielles polym\u00E8res et p\u00E9trochimique, il est appel\u00E9 par \u00C9douard-Jean Empain \u00E0 la direction du groupe Schneider. Nomm\u00E9 directeur g\u00E9n\u00E9ral du groupe Empain-Schneider en 1980, Didier Pineau-Valencienne restructure le groupe en appliquant des m\u00E9thodes manag\u00E9riales acquises chez Rh\u00F4ne-Poulenc : il instaure la strat\u00E9gie et le contr\u00F4le de gestion \u00E0 son arriv\u00E9e. Il organise la transformation du groupe en cherchant \u00E0 l'int\u00E9grer ce qui est alors un conglom\u00E9rat d'entreprises non unifi\u00E9. Les difficult\u00E9s importantes du groupe, avec les effets des chocs p\u00E9troliers, et la crise \u00E9conomique conduisent cependant \u00E0 red\u00E9finir profond\u00E9ment la structure de l'entreprise. Apr\u00E8s plusieurs mois de n\u00E9gociations infructueuses avec le gouvernement de Pierre Mauroy, et l'\u00E9chec de l'intervention de l'\u00C9tat dans le groupe Creusot-Loire, Didier Pineau-Valencienne est contraint \u00E0 la liquidation du groupe en 1984. Cette faillite a un grand retentissement. Cet \u00E9chec, que Didier Pineau Valencienne analyse comme \u00E9tant la cons\u00E9quence d'une trop grande politisation du dossier, conduit \u00E0 une forte restructuration du groupe Schneider, qui perd une grande partie de ses activit\u00E9s. Les ann\u00E9es 1980 marquent cependant de grandes r\u00E9ussites pour Didier Pineau-Valencienne : l'int\u00E9gration, ainsi que la mise en place des m\u00E9thodes comptables et strat\u00E9giques permettent au groupe de se r\u00E9orienter dans les domaines \u00E9lectriques et de devenir progressivement l'un des leaders mondiaux. Les deux OPA hostiles avec T\u00E9l\u00E9m\u00E9canique, et avec Square D, une soci\u00E9t\u00E9 am\u00E9ricaine sont des r\u00E9ussites. Ces deux acquisitions font de Schneider au d\u00E9but des ann\u00E9es 1990 le leader mondial des distributeurs \u00E9lectriques. DPV organise l'int\u00E9gration progressive du groupe, alors compos\u00E9e de filiales, et simplifie les montages financiers en acqu\u00E9rant les diff\u00E9rentes filiales du groupe afin d'attirer les actionnaires et change le nom de l'entreprise qui devient Schneider Electric. Lors d'une de ces OPA, il est inqui\u00E9t\u00E9 par la justice belge en 1993. Il est m\u00EAme mis en d\u00E9tention pr\u00E9ventive \u00E0 Bruxelles pendant douze jours. \u00C0 cette occasion, on reparle de l'enl\u00E8vement du baron Empain en 1978, qui entra\u00EEna l'abandon par celui-ci de ses responsabilit\u00E9s \u00E0 la t\u00EAte du groupe. \u00C0 l'\u00E9poque des rumeurs avaient \u00E9voqu\u00E9 une man\u0153uvre politico-affairiste destin\u00E9e \u00E0 discr\u00E9diter un Belge \u00E0 la t\u00EAte d'une entreprise qui, au fil du temps, \u00E9tait devenue de plus en plus fran\u00E7aise. Le jugement de 2006 n'\u00E9voque pas ce sujet et condamne seulement Didier Pineau-Valencienne pour escroquerie. Toutefois, apr\u00E8s douze ans de proc\u00E9dure, le d\u00E9lai raisonnable \u00E9tant d\u00E9pass\u00E9, aucune peine n'est prononc\u00E9e. Apr\u00E8s avoir recentr\u00E9 l'activit\u00E9 du groupe sur les domaines de l'\u00E9lectricit\u00E9, et avoir abandonn\u00E9 les secteurs m\u00E9tallurgiques et sid\u00E9rurgiques de l'ancien groupe Empain, il lance en 1995 le plan Schneider 2000 afin d'acc\u00E9l\u00E9rer l'int\u00E9gration et la rentabilit\u00E9 du groupe, et quitte \u00E0 l'\u00E2ge de 66 ans la direction du groupe Schneider en 1999. Outre la direction de Schneider, Didier Pineau-Valencienne soutient la cr\u00E9ation de l'euro, et d'une zone de libre \u00E9change. Il rend deux rapports \u00E0 la demande de ministre de l'\u00E9ducation Jack Lang en 1993 et Fran\u00E7ois Bayrou en 1996. Dans ces rapports, il pr\u00F4ne le d\u00E9veloppement de l'apprentissage, et l'int\u00E9gration des entreprises au sein des parcours universitaires. En 1997, il devient responsable des affaires sociales et vice pr\u00E9sident du CNPF, soutenant les stages dipl\u00F4mants. Dans les ann\u00E9es 2010, il se lance dans le financement des entreprises innovantes \u00E0 travers le fonds de capital-investissement Sagard, mais aussi Montaigne Capital."@fr . . . "270"^^ . "268"^^ . . . . . . . . "France"@fr . "1"^^ . . . . . . "254"^^ . . . . "ex-PDG de Schneider Electric"@fr . "255"^^ . . . "Emile Favard"@fr . "fr"@fr . "Didier Pineau-Valencienne"@fr . . "M\u00E9moire d'entreprise"@fr . . "Aspects humains des concentrations d'entreprises"@fr . . . "Capitaines"@fr . . . . . "303"^^ . . . . . "Didier Pineau-Valencienne"@fr . . "Ces hommes qu'on rach\u00E8te"@fr . . . . . . . . . . . . . "310"^^ . . . . . "Portrait d'acteurs de la vie politique \u00E9conomique et sociale"@fr . . . . . . "avril"@fr . . . . . . . . "DPV"@fr . . . "L'Etat, le pouvoir et les patrons dans la soci\u00E9t\u00E9 industrielle"@fr . . . . . "Fran\u00E7aise"@fr . . . . "Grandes Enqu\u00EAtes"@fr . . . . . . . "Philippe Brewaeys Jean-Fr\u00E9d\u00E9rick Deli\u00E8ge"@fr . "2004"^^ . . "2005"^^ . . . "France"@fr . . . . . . . . . . "ex-PDG de Ceca chimie de sp\u00E9cialit\u00E9s"@fr . . . . . . . . . . . "1998"^^ . . "1997"^^ . "97895"^^ . "1994"^^ . . "N"@fr . . . . . . "Logiques Sociales"@fr . . . . "Ces T\u00EAtes qui d\u00E9passent"@fr . "392"^^ . "Dynmaniques d'entreprises"@fr . "https://books.google.com/books?id=Ux7S_vWdAx0C&printsec=frontcover| id=Rach\u00E8te"@fr . . . . . . "Michel Spielmann"@fr . . . . "F\u00E9lix Torres & Didier Pineau-Valencienne"@fr . . . "Pr\u00E9sident d'honneur de l'Institut de l'entreprise et du conseil de l'American University of Paris,"@fr . . . . . "Didier Pineau-Valencienne"@fr . . . . . . . . "Serge Dassault et Didier Pineau-Valencienne face \u00E0 la justice belge"@fr . . . "Bruxelles"@fr . "T\u00EAtes"@fr . . . "Officier de l'Ordre national du M\u00E9rite."@fr . "400"^^ . "190662484"^^ . "1484650"^^ . .