. . . . . . . . . "Philippe Jouvi"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "un paradigme de la philosophie"@fr . . . . . . . . . . . . . . "Acad\u00E9mie de Grenoble"@fr . . . . "\u0414\u0435\u0441\u043A\u0440\u0438\u043F\u0446\u0456\u044F"@uk . . . "Une description d\u00E9finie est une expression de la forme le X, dans laquelle X est un nom commun ou une d\u00E9crivant un individu ou un objet d\u00E9termin\u00E9, et un seul (par exemple, \u00AB le premier singe de l'espace \u00BB ou \u00AB le 42e pr\u00E9sident des \u00C9tats-Unis \u00BB). \u00C0 la diff\u00E9rence du nom propre, une description d\u00E9finie ne nomme pas un objet, mais affirme, selon Russell, qu'il existe un et un seul objet qui satisfait cette description."@fr . . . . "93255"^^ . . . "2003"^^ . "Description d\u00E9finie"@fr . "172224065"^^ . . . . . . . . . "7548"^^ . . . . . . . . . . "Une description d\u00E9finie est une expression de la forme le X, dans laquelle X est un nom commun ou une d\u00E9crivant un individu ou un objet d\u00E9termin\u00E9, et un seul (par exemple, \u00AB le premier singe de l'espace \u00BB ou \u00AB le 42e pr\u00E9sident des \u00C9tats-Unis \u00BB). \u00C0 la diff\u00E9rence du nom propre, une description d\u00E9finie ne nomme pas un objet, mais affirme, selon Russell, qu'il existe un et un seul objet qui satisfait cette description. Russell a d\u00E9velopp\u00E9 l'id\u00E9e de description d\u00E9finie dans l'article On denoting (1905), en opposition \u00E0 la philosophie du langage fr\u00E9g\u00E9enne. Dans l'article Sens et d\u00E9notation (1892), Frege distinguait la d\u00E9notation, qui est l'objet d\u00E9sign\u00E9 par l'expression, et le sens, qui est la mani\u00E8re dont elle le d\u00E9signe. V\u00E9nus est ainsi l'objet d\u00E9not\u00E9 dans les deux propositions au sens distinct, \u00AB l'\u00E9toile du matin \u00BB et \u00AB l'\u00E9toile du soir \u00BB. Russell, au contraire, consid\u00E9rait qu'une description d\u00E9finie n'avait aucun sens (Russell employait le terme de \u00AB signification \u00BB), et n'a une d\u00E9notation que dans certains cas. Les descriptions d\u00E9finies n'ont de signification que dans une proposition compl\u00E8te. De fa\u00E7on g\u00E9n\u00E9rale, c'est la distinction elle-m\u00EAme entre sens et d\u00E9notation qui pose un probl\u00E8me, selon Russell."@fr . . . "La th\u00E9orie russellienne des descriptions"@fr . . . . .