. . . . . . . . . . "185942472"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0410\u0440\u0430\u0431\u0441\u044C\u043A\u0456 \u0447\u0438\u0441\u043B\u0430"@uk . . "Nombres ar\u00E0bics"@ca . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Arabiese syfers"@af . . . . . . . . . . . . . . . . "Les chiffres arabes sont, dans le langage courant, la graphie occidentale des dix chiffres (1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 0) et le syst\u00E8me d'\u00E9criture d\u00E9cimale positionnelle qui les accompagne. Le principe est n\u00E9 en Inde et sa num\u00E9ration indienne, il est ensuite parvenu \u00E0 l'Occident m\u00E9di\u00E9val au contact des math\u00E9maticiens arabes via la civilisation andalouse. La graphie europ\u00E9enne est donc issue de la graphie du monde arabe m\u00E9di\u00E9val occidental, d'o\u00F9 leur nom de chiffres arabes. Cette terminologie \u00E9tant ambigu\u00EB, ils portent \u00E9galement d'autres noms permettant d'\u00E9viter les confusions, mais dont certains sont sp\u00E9cifiques \u00E0 l'informatique : \u00AB chiffres ASCII \u00BB, en r\u00E9f\u00E9rence \u00E0 l'histoire ancienne de leur encodage, \u00AB chiffres europ\u00E9ens \u00BB, \u00AB chiffres latins \u00BB, en r\u00E9f\u00E9rence au jeu de caract\u00E8res auquel il"@fr . . . "15140"^^ . . . "Cyfry arabskie"@pl . . . . . . . . . "Algarismos ar\u00E1bicos"@pt . . . . . . . . . . "Category:Arabic numerals"@fr . . . . "28573"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . "Sifro\u00F9 arabek"@br . . . . . . . . . "\u963F\u62C9\u4F2F\u6570\u5B57"@zh . . . . . . "\u0623\u0631\u0642\u0627\u0645 \u0639\u0631\u0628\u064A\u0629"@ar . . "\u0410\u0440\u0430\u0431\u0441\u043A\u0438\u0435 \u0446\u0438\u0444\u0440\u044B"@ru . . . . . . . . . . . . . . . . . "Ch\u1EEF s\u1ED1 \u1EA2 R\u1EADp"@vi . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Chiffres arabes"@fr . "chiffre arabe"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Les chiffres arabes sont, dans le langage courant, la graphie occidentale des dix chiffres (1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 0) et le syst\u00E8me d'\u00E9criture d\u00E9cimale positionnelle qui les accompagne. Le principe est n\u00E9 en Inde et sa num\u00E9ration indienne, il est ensuite parvenu \u00E0 l'Occident m\u00E9di\u00E9val au contact des math\u00E9maticiens arabes via la civilisation andalouse. La graphie europ\u00E9enne est donc issue de la graphie du monde arabe m\u00E9di\u00E9val occidental, d'o\u00F9 leur nom de chiffres arabes. Cette terminologie \u00E9tant ambigu\u00EB, ils portent \u00E9galement d'autres noms permettant d'\u00E9viter les confusions, mais dont certains sont sp\u00E9cifiques \u00E0 l'informatique : \u00AB chiffres ASCII \u00BB, en r\u00E9f\u00E9rence \u00E0 l'histoire ancienne de leur encodage, \u00AB chiffres europ\u00E9ens \u00BB, \u00AB chiffres latins \u00BB, en r\u00E9f\u00E9rence au jeu de caract\u00E8res auquel ils ont \u00E9t\u00E9 associ\u00E9s, \u00AB chiffres occidentaux \u00BB. Le nom \u00AB chiffres arabes \u00BB r\u00E9f\u00E8re parfois aussi aux chiffres utilis\u00E9s dans l'\u00E9criture arabe. Aujourd'hui, le standard Unicode et la norme ISO/CEI 10646 permettent trois notations pour ces derniers. Les diff\u00E9rentes \u00E9critures de chiffres indiens et persans y sont \u00E9galement incluses."@fr . . . . . . . . . . . . . .